Les petites stagiaires: Leslie IV,5
Datte: 23/12/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Exorium, Source: Hds
Et ce fut tous les soirs. Ou presque. Parce qu’Aglaé tenait absolument à voir Camille sucer Ewin. Elle n’en démordait pas et élaborait, pour parvenir à ses fins, des stratégies compliquées qui n’étaient pourtant jamais couronnées de succès. Il s’en fallait parfois de très peu, d’autant que Camille était extrêmement motivé et jouait le jeu à fond. D’autant aussi qu’on m’avait mis à contribution : je toussais le nombre de fois correspondant à la rangée dans laquelle Ewin avait pris place. Indication précieuse, mais insuffisante. Question de timing. Ils ne se présentaient jamais devant la paroi au même moment et c’était toujours une autre femme qui héritait du « gros lot ».
‒ Oh, mais je désespère pas. Ça finira bien par arriver à force.
En attendant cet instant béni, elle dégustait négligemment une queue ici ou là, en surveillant, du coin de l’œil, l’orifice dans lequel Ewin allait glisser son appareillage.
– Pas question que je loupe ça, attends ! J’aime trop voir comment elles s’y prennent, les filles, avec lui. T’as plein de cas de figure en fait. T’as celles qui se contentent de la lui lécher. C’est les plus nombreuses. Un engin pareil, elles hésitent à se l’engloutir : elles redoutent de s’étouffer avec. Alors elles lèchent. Patiemment. Aussi longtemps que nécessaire. Et elles en profitent pour mater. Une pointure comme ça, c’est pas tous les jours que t’as l’occasion d’en reluquer une de près. T’en as d’autres qui, elles, par contre, la lui prennent en bouche. ...
... Juste le bout. Après l’avoir, le plus souvent, décalotté. C’est les plus voluptueuses, celles-là, en général. Elles ferment les yeux. Elles dégustent. Elles savourent. Et puis t’as les téméraires. Celles qu’enfournent délibérément. Et qui savent pas à quoi elles s’exposent. Parce qu’il pousse, Ewin, dans ce cas-là. Il peut pas s’empêcher de pousser. Au maximum. Et alors là, sauve qui peut ! On se rabat vite fait sur autre chose. Une branlette par exemple. Une bonne branlette énergiquement menée. Au jus de laquelle, quand il va surgir, on va amoureusement offrir son front, ses yeux, ses joues, ses lèvres.
Élodie, elle, de son côté, était aux anges.
‒ Toutes ces queues, là, à disposition. À n’en plus savoir où donner de la tête. Tu me connais ! Je bois du petit lait.
Elle en buvait tant et plus.
– J’ai à peine fini d’en faire dégorger une que je reprends place dans une autre file. Et rebelote !
En attendant son tour, elle observait, avec beaucoup d’attention, tout ce qui se passait autour d’elle.
– Ah, t’as des acharnées de la bite. Des pires que moi. Et qui s’en cachent pas.
Et gardait toujours un œil sur Camille.
– Normal ! On va se marier.
Camille qui sympathisait avec les unes, avec les autres.
– Il y en a qui lui font carrément leurs confidences. Et ça dure. Il les fascine en fait. C’est pas qu’elles se doutent qu’il en a une entre les jambes. Oh, non ! Un truc pareil, ça doit même pas leur venir à l’esprit. C’est qu’elles doivent confusément ...