Farniente entre filles
Datte: 21/12/2024,
Catégories:
f,
ff,
fépilée,
lunettes,
vacances,
plage,
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
ffontaine,
Masturbation
intermast,
nopéné,
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... rougi.
— Cette femme te regarde. Ça te plaît ?
— Oui… Oooh…
— Retiens-toi encore !
— Je vais jouir…
— Non. Tu vas m’obéir ! Repose ta jolie tête sur ta serviette et pense à cette femme. Qu’elle te regarde t’excite encore plus, non ?
— M’mm… Oui… Fais-moi jouir, Jul…
— Je vais jouir d’abord. Et toi, tu attends. C’est compris ?
— Oui. Oui…
— Mais tu vas te caresser plus fort. Ça t’apprendra à quémander comme une gourmande. Et tu ne jouis pas !
Les mains de Gwen bougent en cadence et ses doigts s’activent maintenant plus vite. Cette petite coquine est très excitée par cette Italienne. Gwen amplifie les allers-retours de ses doigts, bousculant son sexe, pinçant par instant son clitoris et défonçant son tendre œillet. Pourtant, je sais qu’elle m’obéira. Elle attendra que je prenne mon plaisir avant de se laisser aller. Cependant, je ne peux pas trop lui en demander. Et bien heureusement pour Gwen, je suis très proche de craquer. Regarder Gwenaëlle se caresser est un ravissement chaque fois. Quand elle geint, alliant son index à son majeur pour ouvrir plus encore son petit orifice, je sais que je vais jouir. La vue des doigts de ma compagne se sodomisant m’excite toujours terriblement.
— Ça vient… tu m’excites trop. Je vais venir…
Je ne me touche pas. Ma fente s’est ouverte un peu plus. Comme de par sa propre volonté. Je vais jouir, et, je le sais déjà, ce sera bref et brutal…
— Je jouis… M’mm… Oh je… je viens !
Un petit jet de mouille gicle sur ma ...
... cuisse quand je jouis en retenant un gémissement. C’est presque douloureux et mon ventre me semble en feu.
— Oui… oui… Aaah ! Aaah… Oh, Jul… Oooh…
Gwenaëlle me suit dans une jouissance peut-être plus intense encore et après avoir crié doucement, continue à subir son orgasme en lâchant un long gémissement rauque. La vague passée, elle se tord un long moment en haletant comme un soufflet de forge. Mon orgasme a été violent comme une déferlante sur une grève. Je l’avais prédit. Comme chaque fois que je suis très excitée et que je ne me touche pas. Celui de ma chérie tenait du tsunami.
J’ai la tête sur l’épaule de Gwenaëlle qui tente encore de mettre de l’ordre dans son souffle, quand brusquement, le silence est rompu par une voix de femme. Une voix de crécelle. Une harpie en chasse. Il me suffit de bouger la tête pour comprendre. Ces messieurs se font houspiller par la femme de Loth, devenue mégère hurlante. Et pourtant…
Pourtant, tout le temps que nous avons pris pour jouir, elle ne nous a pas quittés des yeux. Elle nous regardait sans un mot. Et je parierais volontiers que notre petit jeu lui a beaucoup plu. Je suis presque sûre que le triangle vert pomme de son bas de maillot est plus qu’humide. La femme a fait se lever nos deux martyrs et les a forcés à déguerpir à grands coups de hurlements grinçants. Puis, elle s’est retournée vers nous. C’est moi qu’elle regarde. Parce que Gwen est restée allongée à cuver son orgasme torride.
L’Italienne paraît grande et mince. ...