1. Farniente entre filles


    Datte: 21/12/2024, Catégories: f, ff, fépilée, lunettes, vacances, plage, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, ffontaine, Masturbation intermast, nopéné, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    Vacances italiennes – Août 2014
    
    Des vacances italiennes dédiées au repos. C’est ce que nous avions décidé. Des moments uniquement consacrés à nous relaxer. Farniente ! Un mot parfaitement adapté pour notre petit voyage latin.
    
    Les deux Italiens ne nous ont pas lâché des yeux depuis notre arrivée sur la petite plage pratiquement déserte.
    
    Malgré l’heure très matinale, il fait déjà chaud. Les deux hommes se situent dans la tranche d’âge qui leur colle l’étiquette « âge mûr ». Sachant que le machisme fait qu’une femme de quarante printemps passe pour un fruit mûr. Les hommes, eux, bénéficient d’une petite vingtaine d’années en plus pour prétendre au titre d’hommes mûrs. Ne me demandez pas pourquoi, mais c’est pourtant ainsi.
    
    La cinquantaine passée, ces messieurs sont assis sur des draps de bain et nous regardent en toute impolitesse. À leur décharge, si j’ose m’exprimer ainsi, il faut avouer que, les serviettes de plage posées, nous nous sommes allongées entièrement nues sur nos draps de bain. Et cela, à une petite quinzaine de pas seulement du territoire de nos deux Italiens.
    
    Plus loin, les dames de nos compères papotent les pieds dans l’eau. Ces deux mâles seront des complices idéaux. Rien à craindre d’eux, ces dames étant présentes, et si ces messieurs seront très attentifs aux moindres de nos gestes, ils se devront de rester discrets. Le genre de voyeurs idéals.
    
    — Je mouille déjà…
    
    La voix voilée de Gwenaëlle est un signe qui ne trompe pas. Ma compagne est ...
    ... déjà très excitée.
    
    — Regarde-moi, Jul…
    — Je te regarde…
    
    Elle a véritablement changé. Sa timidité émouvante lors de nos premiers jeux a disparu. C’est un charme de moins. Pourtant, son audace d’aujourd’hui et sa grande excitation à prendre des initiatives font que je ne peux me plaindre.
    
    Gwenaëlle est très belle. Une superbe fille grande et mince, au corps de sportive. Quelques courtes mèches de sa chevelure châtaine sont humides de sueur. Les superbes yeux verts sont fermés. La coquine est terriblement excitée. Ses délicates narines palpitent sous sa respiration saccadée. Sa bouche pulpeuse et ses dents qui mordent doucement sa lèvre inférieure me font littéralement fondre.
    
    Sous le buisson de poils sombres, c’est comme un abricot qu’elle ouvre de ses doigts. Gwenaëlle s’écarte lentement pour offrir son intimité à nos voyeurs. Mais ce sera tout. Elle n’ira pas plus loin. Elle sait ce que j’attends d’elle. J’adore qu’elle jouisse sans se caresser. Pour beaucoup de femmes, cet acte apparaît comme une sorte de mythe. Ou un simple mensonge. C’est pourtant si facile quand on est assez cérébrale pour laisser aller son imaginaire.
    
    Gwenaëlle ouvre ses cuisses musclées en respirant précipitamment. Ses petits seins aux pointes rosées se soulèvent sous une puissante excitation. Je vois son petit manège du coin de l’œil, mais c’est surtout le visage de ma chérie qui m’excite. Gwen est très proche de la jouissance.
    
    — Oooh… je jouis…
    
    En deux minutes chrono. Simplement ...
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