1. Le Co-Voiturage Ch. 01


    Datte: 20/12/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: byomrouge, Source: Literotica

    ... écartées.
    
    Elle me vit stupéfait devant ce sexe de femme que je contemplais pour la première fois. Les lèvres roses et gonflées de sa vulve, entrouvertes par sa position et qui émergeaient d'une forêt de poils noirs.
    
    Elle s'énerva devant mon saisissement.
    
    « À genoux et suce! »
    
    Sans rien dire, je me mis à genoux et approchais. L'odeur m'emplit, une odeur animale, musquée, charnelle.
    
    Je passais maladroitement ma langue sur ces lèvres offertes.
    
    Elle m'arrêta et me saisit par les cheveux
    
    « Non, pas comme ça, commence par les cuisses, doucement »
    
    Elle me dirigea autoritairement vers son aine. Je passais la langue sur cette chair tendre pendant un moment. Elle me dirigeait fermement d'une aine à l'autre.
    
    L'odeur se faisait plus forte. Les lèvres de son sexe, à quelques millimètres, s'épanouissaient en s'écartant un peu plus, laissant entrevoir l'ouverture sombre de son vagin. Une goutte liquoreuse blanchâtre perlait au bas de sa vulve.
    
    Elle ne fut pas longue à me diriger vers sa chatte. Je léchais ses lèvres en absorbant une mouille visqueuse et fade, qui me tapissait le palais. Elle me faisait aller et venir de haut en bas.
    
    J'étais en transe, c'était la première fois que je léchais une femme, que je respirais ses odeurs, que je sentais ses goûts.
    
    Elle me guidait d'une main ferme mais c'est d'une voix rauque qu'elle donna son nouvel ordre.
    
    « Rentre ta langue »
    
    Pointant la langue, je l'introduisis dans son vagin, y récoltant encore davantage ...
    ... d'une cyprine grasse qui m'engluait la bouche.
    
    J'alternais le léchage de ses lèvres, et la pénétration de son vagin, allant toujours plus loin en elle.
    
    Plus cela allait, plus elle me serrait contre elle, en ondulant doucement du bassin et en poussant des petits gémissements étouffés
    
    Elle eut un frisson quand elle me guida plus haut et que je posais la langue sur le bouton ferme de son clitoris.
    
    À partir de là, c'est sur cet organe sensible qu'elle me dirigeait sur lequel je m'acharnais.
    
    Ses gémissements se faisaient plus fort. J'étais perdu dans ce maelström d'odeur et de goût.
    
    Elle se mit à se frotter frénétiquement contre moi, ne s'occupant plus guère de mon léchage et se servant de mon visage pour se donner du plaisir.
    
    Je me laissais faire docilement, le visage enduit de cyprine. Elle ne tarda pas à se raidir en poussant un grand soupir, m'écrasant contre elle comme si elle voulait me faire pénétrer. Cela dura quelques secondes qui me semblèrent une éternité avant qu'elle se détende brusquement et me lâche les cheveux.
    
    Je retombais assis sur mes pieds, reprenant mon souffle, le visage inondé d'une mouille visqueuse qui me bouchait les narines et me collait les yeux. Je me sentais imprégné de l'odeur de son sexe que je sentais à chaque respiration.
    
    Elle était affalée dans le fauteuil, les yeux fermés, le souffle court, en sueur et avec des taches rouges sur les joues.
    
    Revenant à elle, elle ouvrit les yeux, se réinstalla plus convenablement dans ...
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