Le Co-Voiturage Ch. 01
Datte: 20/12/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byomrouge, Source: Literotica
... j'ai envie de jouer les dominatrices. »
Me plantant là, elle monta se doucher.
Un peu désœuvré, je rangeai comme je le pouvais la table du petit déjeuner, puis visitai la maison. Elle était vaste et bien meublée. Des tableaux étaient accrochés aux murs et je passais un moment à les contempler. Il y avait de tout, des paysages, des marines, des tableaux intimistes. Tout respirait une richesse qui m'impressionnait.
Elle revint vêtue, comme la veille, d'une jupe et d'un corsage. Je ne pouvais détacher mon regard de ses formes voluptueuses et ça la fit sourire.
« Ne me regarde pas comme ça, on dirait un enfant devant une bonbonnière »
Je détournais le regard, un peu gêné.
« Viens voir, j'ai un travail pour toi »
Elle me conduisit dans un grand cagibi où un carton contenait une armoire en kit.
« Voilà, si tu peux monter ça? Les outils sont là »
Presque heureux d'avoir quelque chose à faire, je déballais le carton et montais l'armoire.
C'était du bois de bonne qualité. Elle était divisée en deux, d'un côté, une large penderie, de l'autre, des étagères et, tout en bas, un rangement pour les chaussures.
Elle revint comme je venais de finir.
« C'est bien comme ça! »
Elle passa la demi-heure suivante à déplacer ses affaires pour les mettre dans l'armoire. Je l'aidais comme je le pouvais. Nous finîmes par les chaussures. Il y en avait une dizaine de paires.
Tandis qu'elle me les passait, je les rangeais dans l'armoire. La dernière paire, des ...
... escarpins usagés, ne tenait pas et je me retournais vers elle.
« C'est plein, celles-ci ne rentrent pas »
« C'est pas grave »
Elle les reprit, les considéra un instant avec un sourire machiavélique et me les tendit.
« Sens les! »
« Quoi? »
« Sens mes chaussures! »
« C'était dégoûtant, mais j'obéis et pris un escarpin, le regardant hagard. »
Il était avachi et la forme des orteils en marquait légèrement le bout. Le cuir beige de l'intérieur était maculé de traces noirâtres.
Je le portais à mon nez. L'odeur fauve me saisit immédiatement, un peu mâtinée par une vague odeur de cuir, et inexplicablement, je me sentis bander.
Ça la fit éclater de rire.
« Décidément, tu aimes l'odeur de mes pieds »
Ce n'était absolument pas ça, mais je ne discutais pas, et puis mon érection semblait être là pour le prouver .
Elle reprit sa paire de chaussures et partit les remettre dans son placard et je restais là, comme un con, à genoux et le sexe raide.
Je me relevais hébété et en pleine érection.
Je ne comprenais pas ce qui se passait, d'un côté, j'avais horreur de cette puanteur, de l'autre ça me faisait systématiquement bander.
Je passais dans le salon, encore hésitant sur la conduite à tenir.
Elle revint en souriant.
« Tu bandes encore? »
« Oui »
« Appelle-moi Madame! »
« Oui Madame »
« Tu as envie de jouir? »
« Oui Madame »
« Moi aussi »
En disant cela, elle retira sa culotte et s'installa dans un fauteuil, cuisses ...