1. Maladie d'amour


    Datte: 17/12/2024, Catégories: fh, ff, hplusag, couleurs, Collègues / Travail nympho, campagne, essayage, parking, collection, caresses, Oral fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, init, totalsexe, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... entre mes doigts, mes ongles profondément enfoncés dans leur peau fine.
    — Aaaaaaaahhhh ! Oui… oui… j’en ai deux autres… celle-ci est ma favorite…
    — Et tu as d’autres enfants aussi ?
    — Oui… six autres…
    — Bien Ibrahim, bon étalon ! Et tu comptais peut-être les faire venir aussi, hein ?
    — Tu… tu sais il faut être riche pour avoir trois femmes, beaucoup ne peuvent pas. C’est pour ça que je suis venu travailler en France…
    — Et elle, dis-je en désignant la pauvre affolée cachant tant bien que mal ses mamelles dans ses bras, elle sait qu’ici tu n’es pas chez toi, que tu es chez moi et que c’est moi qui te paie ? Elle le sait, ça ?
    
    Quand elle entendit ça, la favorite roula des yeux encore plus ronds que les miens et se mit à insulter Ibrahim avec véhémence. Oubliant sa nudité, elle se leva, lui donna des coups de pied et lui cracha dessus. Apparemment, il n’y a pas qu’à moi qu’il avait menti. Je la renvoyai sèchement dans son coin, avouant cependant que, malgré quelques kilos en trop, c’était une superbe fille avec cette élégance tout africaine, gros seins, fesses rebondies et très hautes, et donnant en permanence l’impression de danser quand elle se déplaçait. Un des mômes se mit à pleurer, j’envoyai sa mère s’en occuper, et je dis à Ibrahim que nous réglerions tout cela le lendemain matin. Je m’enfermai dans ma chambre à double tour. Dès huit heures, j’appelai un huissier de justice, il était là une heure plus tard. La Togolaise avoua sans difficulté être la troisième ...
    ... femme d’Ibrahim. J’envoyai celui-ci la ramener à Roissy, direction le Togo, et l’après-midi nous étions au tribunal. Pour une fois, le divorce fut plus que rapide puisque ce fut une annulation de mariage et je me retrouvai à mon point de départ, seule.
    
    Je me mis à déprimer, implorant un ciel auquel je ne croyais pas de me renvoyer mon Robert. Il aurait bien été déçu, parce que sa belle entreprise ne marchait pas si bien que ça. Je ne travaillais pas assez et moins bien, trop soumise à la dictature de mon corps et à toutes ses conséquences. Les clients se faisaient plus rares, les gens qui m’avaient aidée au début m’avaient abandonnée depuis longtemps, je n’étais plus fiable à leurs yeux. J’avais des tas de papiers en retard, des factures impayées… Je n’arrivais plus à tout faire, j’avais l’esprit ailleurs, et j’avais passé beaucoup trop de temps dans les ennuis de ces trois mariages ratés. Il fallait absolument que je réagisse et que je me remette sérieusement au boulot, ne serait-ce que pour Robert.
    
    Le coup de grâce me fut donné quelques semaines plus tard. Un soir triste et solitaire comme les autres, j’avais beaucoup travaillé pour épuiser mon corps et le rendre plus sage. J’avais pris une douche et j’essayais de m’occuper l’esprit en regardant les stupidités de la télé, en peignoir, un paquet de petits gâteaux près de moi pour tout dîner, l’autre main bien sûr entre mes cuisses. C’était tellement machinal que je n’y faisais même plus attention. On frappa à ma porte, ...
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