1. Maladie d'amour


    Datte: 17/12/2024, Catégories: fh, ff, hplusag, couleurs, Collègues / Travail nympho, campagne, essayage, parking, collection, caresses, Oral fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, init, totalsexe, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... enfant, indispensable pour reprendre l’exploitation. Manque de chance, c’était une fille. Il a donc dû la persuader de recommencer pour avoir un mâle, elle a dû dire « d’accord mais c’est la dernière fois », et c’est moi qui suis arrivée. Pas de bol ! Pendant que je pensais à tout cela, les mains de Monsieur Robert s’étaient égarées sur mon corps. Il m’enlaçait maintenant, me tenant toujours par-derrière, sa main gauche remontant sur mon sein droit et la droite sur le gauche. Ses caresses étaient délicieuses. Quand ses longs doigts s’emparèrent délicatement de mes deux globes en même temps, je me sentis fondre. Quand ils parcoururent mes aréoles en évitant soigneusement les pointes, mon cœur se mit à battre la chamade et à résonner dans mes tempes. Quand ils prirent mes tétons et les firent rouler entre eux, un flot se déclencha dans ma petite culotte. Mes yeux se fermèrent, ma tête se renversa contre son torse, j’étais à lui.
    
    Il me souleva dans ses bras puissants et me transporta jusqu’à une pile de sacs de terreau sur laquelle il avait posé une couverture de laine. Il avait bien préparé son coup. Lentement, méticuleusement, il me déshabilla, complètement. Puis, agenouillé près de cette couche improvisée, il se mit à me caresser, longtemps, très longtemps, avec une douceur infinie, ne négligeant pas un millimètre de ma peau. Il se régalait, je le voyais dans ses yeux. Quant à moi, j’étais au paradis. Je voyais le ciel au-dessus de moi, des fleurs et des plantes tout ...
    ... autour, et ces merveilleuses caresses aussi imprévisibles que douces qui faisaient se tendre mon corps comme les cordes d’un piano. Et il en jouait, sur toute la gamme, comme un virtuose. Il me posa même mes chaussures et mes soquettes, suça mes orteils un par un, caressant mes pieds comme des œuvres d’art. On dit « bête comme ses pieds », mais j’appris que des pieds ce n’est pas bête du tout, et que ça peut même donner sacrément du plaisir.
    
    Une petite tache de mouille s’élargissait doucement entre mes jambes, sur la couverture. Elle doubla quand ses doigts experts remontèrent le long de mes jambes, à l’intérieur des cuisses, là où la peau est si fine et si sensible. Il évita soigneusement mon sexe dans un premier temps, à mon grand désarroi. Le ventre me brûlait à en hurler. Au contraire, il faisait exprès de tracer les contours de mon triangle de poils, de l’intérieur des cuisses à l’aine, traversait le ventre et recommençait de l’autre côté. C’était atroce, une véritable torture, mais une délicieuse torture. Et puis il enleva son sweat-shirt et m’apparut torse nu. Il avait peut-être des cheveux grisonnants, mais son torse mince, bronzé et musclé, ses abdos en plaque de chocolat auraient fait pâlir pas mal de jeunes. Tout cela pour écarter légèrement mes jambes et plonger son visage entre elles. Il attaqua mon sexe directement avec sa langue, sans y avoir passé les doigts. Mon corps se mit à tressauter, prenant une décharge de 380 volts. Toute cette longue attente, l’appel de ...
«12...101112...31»