1. Baptiste Chapitre 7 : Gladiateur


    Datte: 17/12/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: byscribouillard, Source: Literotica

    ... par poignets et chevilles, avant d'être flagellés d'une manière très cruelle, jusqu'à faire couler, sur les longues estafilades, le sang dont des gouttelettes atteignent l'assemblée, pour le plaisir sadique de celle-ci.
    
    Spartacus le masochiste rêve d'un tel traitement pour lui. Mais l'excitation qui lui procure l'exhibition devant tant de dames perverses, elles-mêmes élégamment vêtues de robes à la mode antique, le préserve de tout défaut d'érection. En perspective de cette compétition, sa mère lui a d'ailleurs imposé un mois entier d'abstinence sexuelle totale, à l'aide d'une cage pénienne interdisant toute masturbation, ce qui a été un supplice particulièrement pénible pour le garçon qui ressent le besoin vital d'éjaculer souvent. Seule la perspective de ce jour glorieux lui a permis de supporter cette chasteté forcée.
    
    Avant même d'entrer, tout éblouis, dans la pleine lumière de l'arène où les clameurs de la foule réclament le début des combats, les gladiateurs subissent des sévices de la part des légionnaires féminins, dont les fausses verges tendues s'insèrent dans les trous rectaux lubrifiés de vaseline, tout en prenant garde à ne pas laisser s'épancher le sperme des jeunes compétiteurs.
    
    Spartacus est envoyé en premier, contre un adolescent prénommé Lucius, trop fluet et maladroit pour lui opposer une résistance sérieuse. Il lui suffit d'un coup de pied pour mettre à terre l'adversaire. Puis notre héros fait semblant d'émasculer son antagoniste avec son arme de ...
    ... plastique : un geste d'héroïsme qui provoque les hourras des spectatrices. Bon acteur, Lucius pousse des hurlements suraigus, comme si c'était vrai : il se complait dans le rôle du vaincu, présentant ses organes génitaux en sacrifice pour le spectacle d'une manière complaisante. Il parvient même à pleurer avec de vraies larmes. Il voulait ce destin dont il fantasme chaque nuit. L'impératrice descend dans l'arène, retire ses sandales, piétine le garçon de ses pieds nus et boxe les testicules de ses orteils recroquevillés, cette fois sans faire semblant, de toutes ses forces. Lucius écarte les jambes pour mieux s'offrir au châtiment : il est heureux de cette douleur offerte en public. Lorsque l'impératrice a terminé, les spectatrices applaudissent, et les légionnaires se précipitent à leur tour afin d'enculer le pauvre Lucius à tour de rôle, sans quitter la scène, tandis que d'autres arénaires commencent à se défier.
    
    Tous les perdants subissent des sorts similaires, avec quelques variantes. Ainsi Spendius, passionné par les seins, « meurt » étouffé entre les mamelles naturelles et surdimensionnées de la grosse Vixenia. Othon, lui, est obligé de prodiguer à cette même matrone un cunnilingus au cours duquel il a la tête broyée entre les cuisses en étau, ce qui ne l'empêche pas de sucer le clitoris avec hardiesse. Au moment de la jouissance de la dame, celle-ci serre ses jambes de toutes ses forces. On entend craquer les os de la mâchoire luxée -- mais il bande encore. On faut ...