Baptiste Chapitre 7 : Gladiateur
Datte: 17/12/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byscribouillard, Source: Literotica
Aujourd'hui, voici un nouveau spectacle : les garçons foulent le sable l'arène pour un combat de gladiateurs. Pour cette assemblée d'éphèbes, pas question de mourir pour autant : les épées, comme les boucliers et les casques à plumeau, sont en plastique. Mais aucun cache-sexe ne dissimule les beaux phallus bandés des jeunes combattants devant une assemblée de mamans et des femmes avides de ce spectacle indécent de stupre, de sueur et de (faux) sang. Bienvenue dans la cité éternelle pour les jeux du cirque!
Le vainqueur de la finale obtiendra le droit fabuleux d'étreindre toutes les femmes qu'il voudra, jouvencelles parfois vierges et matures au ventre ridé ; toutes se sont préparées à recevoir les jeunes vits affamés de féminité dans les profondeurs de leur intimité humide de cette attente. Un seul lauréat pour seize jeunes coqs de dix-huit à vingt ans, musclés, virils, épilés complètement, parfumés, huilés sur tout le corps pour mieux exprimer leur grâce masculine. Les autres, lorsqu'ils seront touchés une épée, devront se jeter à terre et feindre l'agonie, être aspergés de peinture rouge, avant que l'achève le gagnant du duel d'un dernier coup d'estoc, si l'Impératrice -- ici, la maman de Baptiste -- l'exige d'un pouce tourné vers le bas. Il faut jouer la comédie par des râles de souffrance digne des péplums les plus sanglants, géhenne augmentée par la frustration d'être privé du droit de copuler à gogo.
Les soldates légionnaires maintiennent sévèrement ordre ...
... impérial. Elles sont équipées de gode-ceintures afin d'abuser des gladiateurs, notamment ceux qui ont perdu et doivent simuler la mort par une totale inaction lorsqu'ils sont sodomisés par les longues tiges de plastique qui ont de forts diamètres et dont certaines, vibrantes, provoquent en stimulant la prostate l'orgasme anal sous lequel il est difficile de rester impassible. Mais la loi est dure, et il faut subir la loi, comme l'indiquent les vendeurs de verres de cantine.
À son tour, Baptiste, alias Spartacus dans ce jeu, entre dans l'arène. Prêt à tout donner pour la victoire, il transpire déjà à grosses gouttes sur son front. Il est équipé d'un petit bouclier et de jambières qui sont plus gênants qu'utiles en vue de l'affrontement, mais la costumière trouvait cet accessoire mignon, alors le jeune homme est obligé de composer avec. Comme toujours, il est très excité par la perspective d'être exposé nu devant un public féminin venu pour l'admirer. Le plus important est de montrer de la bravoure.
Malheur aux vaincus, mais malheur surtout à ceux qui débandent. L'impératrice punit terriblement ceux auxquels la bandaison fait défaut, ne serait-ce que momentanément. Il faut alors supplier à genoux la pitié de celle, toute puissante, qui a tous les droits sur ses esclaves masculins, et peu importe qu'ils soient plus habiles que les autres au maniement de l'épée : cette faiblesse n'est pas tolérée. Ces supplications n'ont jamais d'effet : les punis sont attachés sur une croix en X ...