Striptease
Datte: 15/12/2024,
Catégories:
fh,
prost,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
rencontre,
Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe
... aurait voulu éclairer pour la voir, mais il se retint. Elle n’était pas lourde sur lui, pas plus que l’oiseau sur son épaule. Il sentait les cuisses de la jeune femme contre ses hanches et il avait envie de lui dire du bien de ses cuisses, mais il se retint. Juliette bougeait toujours très lentement, mais d’un mouvement plus ample, se cambrant jusqu’à ce que ses fesses remontent et que la queue de son amant soit presque sortie d’elle, puis elle plongeait à nouveau vers le bas et le reprenait tout entier. Elle devait bien le sentir en elle puisqu’elle se mit à gémir à chaque mouvement, couinant comme un chaton.
Elle accéléra son mouvement… « flic flic », faisaient ses fesses en retombant sur Antoine. Lui essayait de respirer sans faire de bruit, sans grogner comme il se rappelait le faire quand le plaisir arrivait.
— Tu es un bon plan cul, Antoine, un amant parfait, espèce de salaud. Tu me fais jouir et je vais vraiment tomber amoureuse. Oh merde, merde, merde, je jouis !
Elle se déchaîna sur lui, lui griffant le torse, se tendant comme un arc, se mettant à pleurer, puis elle retomba sur son amant comme un sac, molle et lourde, pleurant à chaudes larmes, cherchant l’air par à-coups. Antoine l’entoura de ses bras et la berça un moment. C’était très, très agréable. Elle était fragile et elle avait besoin de lui.
Il la fit rouler sur le lit et se retrouva sur elle. Il plongea son regard dans celui de la jeune femme et malgré l’obscurité, il vit une lueur dans ses ...
... yeux gris qui signifiait qu’elle acceptait qu’il la baise. Il commença par aller et venir doucement en elle et la reprise du mouvement la fit gémir à nouveau. Mais Antoine s’aperçut qu’il avait grillé une étape. Il ressortit lentement son membre du fourreau de la dame et descendit sa tête entre ses cuisses chaudes.
— C’est un préliminaire, mais les préliminaires, on les fait quand on veut, dit-il. On est entre nous.
Et il lui lécha la fente avec sa langue de chien, il lui mangea le clitoris, il lui mit un doigt dans le fondement. Chaque geste électrocutait Juliette qui allait d’orgasme en orgasme sans plus rien savoir du temps qui passe ou du nom de son partenaire. Elle n’aurait même pas su dire si tout cela était réel ou si elle rêvait. Antoine s’appliquait. Il se souvenait subitement qu’il avait été un excellent amant et que ses partenaires en redemandaient, alors il fit le travail correctement. Juliette réagissait si bien que c’était un merveilleux plaisir que de retarder le moment de l’avoir vraiment pour lui. Il lui téta les seins en continuant de la masturber avec ses gros doigts experts. Mais finalement, tandis qu’elle n’était qu’un pauvre tas de chair molle et poisseuse, il fut aussi au bout du rouleau. Il vérifia l’état du préservatif et s’enfonça en elle, d’un seul coup de reins. Elle réagit tout de même par un petit « oui, Antoine, prends-moi ». Alors il la baisa, sans gentillesse, sans ménagement, avec fougue, comme un mâle baise une femelle de toute éternité, ...