1. Mon infirmière.


    Datte: 22/07/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Clar, Source: Hds

    ... main sur un chantier et, ayant négligé de me soigner, je fus contraint de consulter aux urgences de l’hôpital. Le médecin décela une infection et ordonna un traitement par antibiotiques. Je lui suggérai de me le faire administrer en piqures afin que je puise guérir plus rapidement compte tenu de mes obligations professionnelles. Sortant de l’hôpital, j’appelai Karim pour lui demander d’appeler le cabinet infirmier de Clotilde pour les soins. « Je m’occupe de tout, je vous la prépare, dans quelques jours elle sera à vous. » Sacré Karim !
    
    Le lendemain, j’eu affaire à son associé, et c’est le 3ème jour que je vis débarquer Clotilde.
    
    Plus belle que sur les photos. Il dégage d’elle un mélange de douceur, de timidité (tu parles, quand tu as vu les photos !), un côté BCBG mais aussi une touche d’animalité que je ressens. Elle me plait et pendant qu’elle prépare son injection mon regard s’attarde sur sa poitrine, ni trop volumineuse ni trop petite, dissimulée sous un pull large, sur ses fesses que l’on sent encore fermes et sur ses cuisses dissimulées dans un pantalon beige qui se rejoignent en dessinant un renflement tentant. Elle sent bon, une eau de toilette qui rappelle le jasmin.
    
    Elle n’est pas habillée sexy mais elle me fait de l’effet.
    
    Je me tourne vers la glace et adresse un clin d’œil. Car c’est une glace sans tain derrière laquelle deux personnes peuvent prendre place dans un recoin aménagé dans la cloison. Et aujourd’hui il y a Karim. Karim qui dirige les ...
    ... opérations.
    
    Le lendemain, mon infirmière a troqué son pantalon contre une jupe qui descend sous le genou. Je la regarde s’accroupir pour me piquer. J’imagine ses cuisses et cette évocation entraine un frémissement agréable de ma verge. Le jour suivant, la jupe est plus courte. En s’accroupissant elle m’offre une vue fugace sur ses cuisses. Il me semble qu’elle porte des bas.
    
    Le lendemain. Sa jupe est courte. Elle tire sur mon slip pour dégager une fesse. La glace me renvoie mon image, slip un peu baissé, racine du sexe visible. Elle, accroupie, écarte légèrement les cuisses. Elle a des bas. Je surprends son regard qui remonte vers mon bassin. Je bande à moitié, mais c’est bien visible. Et elle le voit, sa pupille semble se dilater. Dans un mouvement lent, elle écarte d’avantage les cuisses, faisant semblant de devoir garder son équilibre. Je vois sa culotte blanche qui moule son sexe. Je sens ma bite se déployer, arrêtée par mon slip. Elle prend son temps la garce. Je vais lui faire payer.
    
    Le lendemain, elle vient. Je suis déçu : jean et baskets. Elle fait le soin, non sans jeter un regard sur mon bassin. Rien que ce regard me fait bander. « Ne vous inquiétez pas, demain vous allez en prendre plein les yeux » me dit Karim. « Elle est presque à point cette salope ».
    
    Le lendemain, elle arrive, petite jupe courte. Elle tire sur mon slip. Mon sexe est à moitié découvert. « attention, je pique ». Je grimace, la piqure est douloureuse. Je feins de fermer les yeux et je la ...
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