1. Mon infirmière.


    Datte: 22/07/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Clar, Source: Hds

    Jacques : Mon infirmière
    
    (dans les opus précédents, nous avons découvert l’attirance que l’infirmière avait eu pour son patient Jacques Rocier et ce qu’il en était advenu. Voyons maintenant comment le dénommé Jacques a vécu cela).
    
    Je m’appelle Jacques Rocier et je suis le patron d’une entreprise d’électricité d’une petite ville du centre de la France. J’ai 52 ans, je suis mariée à Sylvie. Nous n’avons pas d’enfants.
    
    Je suis grand, costaud, et surtout je suis doté d’un sexe aux dimensions supérieures à la moyenne, dont je sais admirablement me servir. Et j’adore m’en servir.
    
    Et j’ai souvent des gros besoins. Sylvie le sait et l’accepte, d’autant que je lui ai appris à en profiter de son côté.
    
    L’an dernier, j’avais remarqué de Karim, un de mes employés, était moins présent et semblait fatigué. Je décidai alors un soir de fouiller dans son armoire, ayant peur qu’il ne se drogue. Je n’avais rien trouvé, hormis une clé USB dissimulée entre deux tee shirts.
    
    Intrigué, je retourne au bureau, insère la clé dans mon ordinateur. Des fichiers apparaissent. J’ouvre le premier intitulé « J ». Ce sont des photos. On y voit un homme que je reconnais comme étant Paul Guibaud, un de mes clients, avec une jeune femme, le plus souvent nus tous les deux, en train de baiser. Il y a au moins deux cents photos. Je regarde attentivement la femme, son visage ne m’est pas inconnu, mais impossible de mettre un nom dessus. Visiblement, les photos ont été prisses à différents moments, ...
    ... mais toujours au domicile de Guibaud.
    
    Je passe au deuxième dossier. Même décor, même homme mais une autre femme, la quarantaine. Elle aussi me dit quelque chose. Je flashe sur elle. Elle me plait. Cheveux mi-longs châtains clairs, peau claire, beaux yeux bleus, assez grande. Une poitrine encore bien ferme. Une belle allure, style BCBG, mais sans en rajouter. Un air BCBG, mais les photos la dévoilent dans de multiples postures, le plus souvent dénudée et appréciant à l’évidence l’art amoureux. Je sens mon sexe se raidir dans mon slip. Je la veux, je l’aurai.
    
    Le lendemain matin, je duplique la clé sur l’ordi, et vais attendre Karim pour avoir des explications. Il me raconte alors qu’il a surpris un jour la première femme se rendant le soir chez Paul Guibaud. Il avait pu s’introduire dans le jardin, et par la fenêtre avait surpris leurs ébats. Il s’était organisé pour pouvoir les espionner, les photographier, puis faire chanter la femme pour pouvoir en faire sa maitresse. C’est ainsi que j’appris que cette femme était Judith, la femme d’un boulanger de notre ville.
    
    Un peu plus tard, il avait surpris un soir par hasard la deuxième femme sortir de chez elle habillée de manière sexy, il l’avait suivie et découvert qu’elle avait pris la suite de Judith chez Guibaud. « Et c’est qui, elle ? » lui demandai-je. « Elle c’est une infirmière, elle s’appelle Clotilde ». « Démerde toi, je la veux. Tu as carte blanche. Et pas dans six mois. ».
    
    Le hasard fit que je me blessai à la ...
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