1. Assistantes de direction à tout faire (1)


    Datte: 11/12/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... deux femmes sympathisèrent très vite, d'autant qu'elles étaient amenées à collaborer. Du travail aux confidences plus intimes, il n'y eut pas très loin. Mariannick commença par avouer que son patron lui mettait souvent la main aux fesses et interrogea Nicole : "et toi ?" Celle-ci confirma et toutes deux confessèrent que leur patron bouleversait leur vie conjugale, vu que les maris n'étaient pas au courant de ces agissements. Puis Nicole glissa que la main de son patron errait parfois sous sa robe. "Ah bon, toi aussi ?" reconnut Mariannick. Il leur était dès lors difficile de ne pas admettre que ces explorations intimes se poursuivaient en chambre. "Tu as baisé ?" finit par interroger Nicole. Mariannick fit oui de la tête. Et Nicole reconnut qu'elle avait baisé aussi. "Et c'était bon ?" demanda Mariannick. Nicole se refusa de jouer les chochottes. Elle avait pris du plaisir à coucher avec son patron, à la fois pour sa virilité et par goût du fruit défendu. "Pareil", abonda Mariannick. Et les deux femmes éclatèrent de rire. Leur complicité s'était donc renforcée par ces aveux.
    
    Dès lors, elles ne cessèrent plus de communiquer entre elles, même lorsqu'elles étaient séparées. Elles se parlaient de leur mari, de leurs enfants et surtout de leur double vie qu'elles n'avaient pas voulu mais qui leur octroyait quelques avantages : des rémunérations en hausse, quelques cadeaux et une variété sexuelle qui les changeait de la routine conjugale. Cette complicité allait s'accélérer ...
    ... lorsque leurs patrons leur demandèrent de les assister pour conclure un important marché avec des investisseurs africains. Il leur fut instamment demandé de jouer la carte de la séduction, au point qu'elles purent choisir leur robe chez un grand couturier. Deux quinquagénaires africains étaient particulièrement visés. Subjugués par les deux accompagnatrices, en grands frais de toilette, ils exigèrent qu'elles les accompagnent dans une virée dans une boite de nuit. Sans leur patron. Nicole et Mariannick comprenaient évidemment quelles étaient leurs intentions et ne décoléraient pas contre leur employeur. Mais en même temps, elles avaient bien conscience de jouer un rôle clé dans la négociation. Parties s'être refaire une beauté dans la boite de nuit avant la prochaine étape, à savoir l'hôtel des Africains, elles devisèrent devant les lavabos :- Ils nous envoient à l'abattoir, nos patrons. On va passer à la casserole pour le bien de leurs finances, grogna Nicole.
    
    - Ouais, mais on n'a pas trop le choix. C'est ça où on revient aux tâches subalternes, répliqua Mariannick.
    
    - Tu as déjà baisé avec un Noir ?
    
    - Non jamais et toi ?
    
    - Moi non plus.
    
    - S'il te plait, ne me quitte pas. Je ne veux pas me retrouver seule avec l'un de ces types.
    
    - J'allais te le demander. Bon, allez, on y va et vogue la galère.
    
    ******On voit par là que les deux assistantes de direction, devenue escort girls par le fruit des circonstances, n'envisageaient pas cette mutation de gaieté de coeur. ...