1. Assistantes de direction à tout faire (1)


    Datte: 11/12/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... en catastrophe dans une boutique pour trouver une robe adéquate. Comme elle les aimait à boutons, elle trouva son bonheur dans un tissu très fin qui moulait ses formes. Elle passa chez le coiffeur, revit son maquillage, en particulier son rouge à lèvres, qu'elle avait charnues. "Une bouche pour la pipe", avait grincé certains mâles de son entourage, frustrés de n'avoir pu l'expérimenter.
    
    Le patron apprécia. Tellement même qu'à l'hôtel (luxueux) où ils posèrent leur valise avant la réunion du lendemain, il ne réserva qu'une seule chambre, censée être une suite avec pièces communicantes. Nicole commença à se crisper. Mais le dîner qui suivit, copieusement arrosé, modifia quelque peu son état d'esprit. Elle tombait peu à peu sous le charme de Michel. Arrivés dans la suite, elle allait gagner sa pièce quand il la prit par le bras et l'attira vers lui avant de l'embrasser goulûment. Elle commença par se raidir, émit une protestation mais l'autre insista, déboutonnant les boutons du bas pour atteindre le slip. Sésame ouvre toi ! Nicole devint toute molle. Les boutons furent défaits un à un et elle apparut en soutif pigeonnant et en mini slip, achetés l'avant-veille à grands frais. Il lui prit la main et la posa sur sa braguette. Elle aurait dû la brûler si elle avait été une épouse modèle. Mais elle s'y attarda. Il se libéra, elle s'accroupit et elle l'emboucha. La pipe, elle avait toujours adoré ça. Déjà, à peine dépucelée, elle avait fait gicler avec sa langue pas mal de ...
    ... copains de son âge. Pendant qu'elle le suçait avec ardeur, Michel dégrafait son soutif et libérait deux nichons en poire qu'il empauma avec volupté. Très sensible des seins, Nicole capitula sans condition. Elle baissa elle-même son slip, dévoilant un pubis foisonnant de brune et se laissa culbuter sur le lit voisin, saisissant la bite plantureuse de son impatient patron pour la porter là où elle devait aller.
    
    Ce fut un coït ardent, sauvage, bruyant et volubile. Nicole y révéla un tempérament de feu qui ne demandait qu'à éclater après des mois, voire des années, de latence. Elle ne cessa de réclamer de la durée, de la raideur et de la variété. Il la prit dans toutes les positions, la sodomisa sans aucune difficulté en se régalant de son fessier joufflu, remit deux fois le couvert jusqu'au petit matin après avoir été réveillé par sa bouche et elle sortit de ces ébats fraiche comme une rose, le corps comblé et la mine réjouie. Sans l'once d'une culpabilité. Elle avait baisé toute la nuit et ne demandait qu'à recommencer.
    
    ******Ce fut lors d'un de ces voyages professionnels avec son patron que Nicole rencontra Mariannick. Elle était également l'assistante de direction d'un associé de son patron et l'accompagnait aussi dans ses déplacements. Agée d'une quarantaine d'années, brune aux cheveux bouclés, moins enrobée que Nicole avec un corps osseux, nerveux mais bien proportionné, elle bénéficiait surtout d'un beau visage aux traits réguliers qui lui conférait un charme certain. Les ...
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