1. Soumis en libre service en club gay


    Datte: 22/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Gay Auteur: laurence500, Source: xHamster

    ... déverrouille la porte, sans pour autant l’ouvrir. A tâtons, je m’allonge sur le matelas de la cabine, à plat dos, la queue bien visible, les bras le long du corps en signe de total abandon. Mon cœur commence à s’accélérer, mes oreilles, bien que recouvertes par la cagoule, perçoivent de façon aiguë tous les bruits du sauna, comme amplifiés par la privation de ma vue. Cinq bonnes minutes se passent, aucun signe d’ouverture de la porte. Je suis de plus en plus excité, presqu’en panique. Tout à coup, les sons s’amplifient dans la cabine : la porte vient de s’ouvrir. Je me raidis, ma bite repart à l’érection, me donnant une douleur dans le bas-ventre. Je suis complètement en panique, mais je ne bouge pas. Je sens un attouchement sur ma cage de chasteté, je gémis, plus de peur et de surprise que de douleur. La pression de la main s’accentue, je gémis de plaisir et commence à haleter. Puis plus rien. Je pense que l’intrus s'est éclipsé. De nouveau l’attente après la poussée d’adrénaline. La porte à dû rester ouverte, le niveau sonore est plus élevé et j’entends les conversations dans le couloir à côté. Encore une dizaine de minutes passent, enfin je crois, l’angoisse qui me tenaille me donnant une idée complètement fausse du temps qui passe.
    
    Tout à coup, sans prévenir, je sens que l’on verrouille la porte. Quelques instants se passent et je ressens une vive douleur aux testicules : l’inconnu qui vient de rentrer vient de me donner un coup de la paume sur mon sexe. Je crie un ...
    ... peu.
    
    « Ta gueule, petite pute, ouvre ta bouche !!! »
    
    Je m’exécute. Je sens une bite qui se frotte à mes lèvres. Le sexe me remplit tout doucement la bouche. Le mec commence à s’activer dans ma gorge, par petits coups répétés. Sa queue est un peu molle, pas très grosse, mais commence à durcir et enfler sous les efforts de succion que je lui prodigue. Le rythme s’accélère, progressivement…
    
    « Tu aimes ça, sac à bite, tu aimes ma queue, tu l’aimes, hein, ma pute… »
    
    Ma bouche étant pleine et bien pleine, je ne peux pas vraiment répondre. Il retire son sexe et me fais lécher les couilles, que je sens très poilues. Ma langue passe de sa hampe à son gland, puis revient vers ses couilles. Je l’entends gémir, sa respiration s’accélère, ses propos deviennent hachés.
    
    « tu vas recevoir mon jus, salope ! »
    
    Il n’a pas le temps d’aller plus loin. Je sens le goût âcre de son jus sur ma langue, et mon visage mouillé de sperme à travers le lycra de la cagoule.
    
    Tout de suite après, j’entends le verrou de la porte qui s’ouvre, me laissant seul, mon visage barbouillé de foutre gluant, la langue pleine de sperme que j’avale avec délectation. La tension retombe, je suis tout excité, mais mon sexe encagé ne peut pas grossir ni jouir.
    
    Après cette première expérience, et encore désireux de connaître d’autres humiliations, je choisi de prolonger la séance en me remettant dans la position allongée sur le dos. Bien sûr, je me garde bien de nettoyer les traces de sperme sur mon visage ...