Soumis en libre service en club gay
Datte: 22/07/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Gay
Auteur: laurence500, Source: xHamster
Je vais vous parler d’une expérience réelle que j’ai eue dans un club gay de la capitale au mois de janvier dernier. Ayant des penchants forts à la soumission, souvent travestie pour être transformée en bouche à queue pour mes amants exigeants, j’ai décidé de me soumettre de façon totale et devenir une simple bouche à sperme. Je me rends donc dans cet établissement parisien un samedi après-midi, cet établissement est plutôt fréquenté par des hommes mûrs, voire très mûrs. J’aime beaucoup m’occuper du sexe de vieux pervers à gros ventre, poilus, en manque de sexe, dont les bites ont du mal à bander – ce qui m’oblige à activer encore plus ma langue et mes lèvres.
Je sonne à l’entrée, et après avoir payé l’entrée, je me dirige vers les vestiaires. Je me déshabille entièrement, devant un papy qui apprécie visiblement le spectacle. Il faut dire que je porte une petite culotte rose en dentelle que j’ai prise à ma femme (qui ignore bien entendu mes penchants de pute soumise).
Une fois nu, je me dirige vers les douches et je lave parfaitement, en écartant de façon ostentatoire mes fesses, afin de bien savonner mon petit cul. Quelques instants passés au sauna, puis dans le jacuzzi, me permettent de frôler quelques cuisses, de caresser une ou deux queues toutes molles. Après m’être séché, je déambule dans le sauna, ma serviette sur les épaules, afin que tous les mecs présents puissent admirer ma petite queue bien rasée.
Après une demi-heure de promenade, pas d’occasions ...
... particulières pour prendre en bouche une bite ou lécher une paire de couilles poilues. Je décide donc de passer à la vitesse supérieure. Je remonte à l’étage et ouvre la porte de mon vestiaire. Je sors une cage de chasteté, ainsi qu’une cagoule où seul un trou est ouvert au niveau de la bouche. Cette cagoule rend complètement aveugle, et la seule ouverture est juste assez grande pour l’entrée d’un sexe de mâle. Pour compléter le tout, un joli collier de chienne en cuir rouge, assorti d’un anneau métallique. Je prends ces trois ustensiles et je me rends dans une cabine où je verrouille la porte à clé. Mon cœur commence à s’emballer : le désir de soumission monte, en même temps que l’inquiétude d’être mis au vu de tous à la merci de n’importe quel pervers.
Je mets le collier autour de mon cou, ajusté afin de laisser un peu de jeu entre la courroie et le cou, pour qu’une main puisse se glisser entre. J’insère la cage de chasteté sur mon petit pénis, avec un peu de difficulté, ma queue commençant à gonfler sous le feu de l’excitation et de l’attente. Je positionne le cadenas métallique et je verrouille la cage : ma bite est désormais prisonnière et commence à remplir la cage en plexiglas, provoquant une douleur exquise au niveau de mon sexe.
Je ne peux plus me retenir : j’enfile la cagoule, l’ajuste pour que le trou soit juste au niveau de ma bouche. Je suis complètement aveuglé, je ne perçois qu’avec peine la lumière tamisée. Un moment d’hésitation, puis je me lance : je ...