Le congrès
Datte: 10/12/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: J A, Source: Hds
Sophie
Le train approche de la gare, dans dix minutes je serai arrivée. Je me sens mal et je culpabilise. J’ai fait une énorme connerie pendant ce congrès et je m’en mords les doigts. Une semaine à 300 km de la maison, tous frais payés par ma boîte, dans un excellent hôtel, et moi j’ai merdé.
J’ai encore du mal à réaliser à quel point j’ai perdu les pédales. Patrick était charmant, jeune et très bel homme. Dès le début il s’est focalisé sur moi, même en sachant que j’étais mariée et du mauvais côté de la quarantaine. Je n’en revenais pas ; il y avait de belles femmes, bien plus jeunes, mais c’était moi qui avais attiré son attention.
Je suis mariée à David, que j’aime comme au premier jour, depuis bientôt 25 ans. Nous avons plein d’idées pour fêter ce grand évènement. Nos deux grands garçons sont partis faire leurs études loin de la maison, ce qui nous laisse beaucoup de liberté pour préparer cet anniversaire.
Tout cela ne m’a pas empêchée de franchir le pas de l’adultère. Je ne sais pas comment j’ai pu céder. Peut-être le manque d’habitude, on ne m’avait plus courtisée et fait des avances depuis David. C’était excitant, nouveau, différent, interdit. Mon pouvoir de séduction fonctionnait encore. Mon mari me dit tous les jours à quel point je suis belle et désirable, mais l’entendre de la bouche de cet inconnu, m’emplissait d’une exaltation que je n’avais pas ressentie depuis longtemps.
Après quelques jours de doutes, j’ai fini par accepter un dernier verre. ...
... J’ai seulement insisté pour aller dans ma chambre, cela me rassurait et me donnait une impression de contrôle. Depuis le premier jour, il me dévorait des yeux et dans l’ascenseur il m’a embrassée et caressée, ce qui a déclenché un violent désir en moi.
Arrivés dans la chambre il a continué, tout en me déshabillant. Je savais faire moins que mon âge, mais j’étais gênée. Aucun homme ne m’avait vue nue depuis plus de 25 ans, à part David, mais le regard de Patrick était toujours plein de désir. Je m’étais laissé coucher sur le lit et il avait mis sa tête entre mes jambes, que j’avais écartées sans aucune pudeur.
Il m’avait fait jouir, mais il avait mis plus de temps que David et il n’avait pas renouvelé son cunnilingus pour multiplier mes orgasmes. Je lui avais rendu la pareille et il avait eu droit à une fellation. Cela faisait tout aussi longtemps que je n’avais pas touché un autre sexe que celui de mon mari. Il était plus petit que David et j’arrivais facilement à faire une gorge profonde. Il avait joui dans ma bouche ; je n’avais pas avalé, contrairement à mes habitudes, je m’étais levée pour cracher dans le lavabo. Nous avions discuté un moment, sans qu’il ne cesse de me caresser, puis il s’était allongé sur moi et m’avait pénétrée. Patrick n’avait pas de capote, mais m’avait assuré être totalement sain. Je l’avais cru ou plutôt cela m’avait arrangé de le croire. J’obligeais David, depuis toujours, à mettre des préservatifs car je ne supportais pas la pilule, mais les ...