1. Very Nice trip


    Datte: 22/07/2019, Catégories: grp, couplus, inconnu, vacances, hotel, Partouze / Groupe Auteur: FreddySirocco, Source: Revebebe

    ... à couvrir le bas de son corps finit par glisser à ses pieds. Mazette ! Quel engin !
    
    Soudain mon esprit se met en branle (j’adore cette expression !). J’ai comme un flash. C’est comme pour les rideaux, tout n’est pas clair, mais ça se précise petit à petit. Cette toison que je toise depuis quelques minutes, elle est d’une douceur incroyable. Je me vois la caresser comme on se plaît à caresser un ours en peluche ou un gros chien. Et je n’ai pas caressé que ses poils au colosse ronfleur. Ce type-là, je l’ai eu sur moi, sous moi, devant, derrière, dans ma bouche, dans mon con et même dans mon cul. Et longtemps encore. J’en frissonne. Je comprends mieux pourquoi j’ai si mal aux fesses ! Moi qui m’adonne d’ordinaire si peu à la sodomie…
    
    Et puis… il n’était pas seul ! Double pénétration ! Moi ! Grande première ! Et mon chéri qui n’est pas là… J’espère qu’il a tout vu ou que ça a été filmé : étant donné l’état de mon arrière-train ce matin, je ne compte pas recommencer tous les jours ! Je devais être sacrément excitée en tout cas. Ou droguée… Qui sait ? Tout cela est tellement confus. J’ai tout de même le souvenir d’un moment très, très agréable, c’est bon signe… Il y avait ce gars, sur le lit, qui baisait la greluche en léopard. Je les revois vaguement. Ils copulent plutôt laborieusement tandis que, de notre côté, nous donnons dans la sarabande, dans la symphonie extatique, dans l’indécent ballet. Et puis la bimbo s’endort, ou plutôt elle s’effondre, la bave aux lèvres – ...
    ... mais est-ce de la bave ? – et son cavalier nous rejoint pour le bouquet final. Un truc de fous. J’ai l’impression de sentir à nouveau l’énorme bite de l’ours s’introduire en moi. Ça fait mal mais c’est tellement bon et… excitant ! Je le fais ! Je suis double-pénétrée, remplie de presque partout ! Heureusement qu’il me reste la bouche pour crier ! Quelle sensation incroyable ! Je ne peux plus bouger, je suis prise dans un piège diabolique et orgasmique, je me fais carrément démonter, je hurle sous les coups de boutoir, je veux qu’ils continuent et qu’ils s’arrêtent, mon corps n’en peut plus, j’explose, je ne tiens plus que par les encouragements et les tendres caresses sur mes seins de… Martin ! Le type sous moi qui me caresse les seins, c’est Martin ! Mon voisin !
    
    J’hallucine. Je m’assois et je me recroqueville, le menton appuyé sur mes genoux, mes bras entourant mes jambes. Je me sens sale, dans tous les sens du terme. C’est souvent le cas après une nuit de débauche. Le contrecoup qui ne dure pas, heureusement, quand je repense aux bons moments passés. Sauf que là, mes souvenirs sont encore un peu flous et… étonnants !
    
    Je me penche vers le sol. Mon regard scrutateur doit en dire long parce que la poupée russe, aux yeux pourtant mi-clos, m’indique du doigt la jolie petite robe blanche zébrée de rose que mon chéri m’a offerte pour fêter le printemps. Et j’aperçois un peu plus loin mes escarpins rose fluo, mes préférés. Pour la culotte, en revanche, je chercherai plus tard ...
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