1. Very Nice trip


    Datte: 22/07/2019, Catégories: grp, couplus, inconnu, vacances, hotel, Partouze / Groupe Auteur: FreddySirocco, Source: Revebebe

    ... chérie. C’est dommage que tu ne sois pas rentrée, on se serait bien amusé tous les quatre !
    — Plus on est de fous, plus on jouit ! ajoute la pouffe en pouffant, justement.
    
    Je m’efforce de rire, mais je sens mes griffes prêtes à sortir. C’était elle sous la douche tout à l’heure ! Elle a beau jeu d’être fraîche et pimpante ! Et moi qui suis si crasse à côté…
    
    — C’est d’autant plus dommage que j’avais ramené Lisandro exprès, rapport à ton fantasme sur les hommes noirs, ajoute mon cher et tendre.
    
    Quelle délicatesse ! Je ne sais si je dois m’offusquer du fait qu’il dévoile mes petits secrets devants ces parfaits inconnus ou si je dois m’attendrir de cette touchante attention.
    
    — Ce sera pour une autre fois, mon amour !
    — Oh, faut pas t’inquiéter comme ça pour elle, intervient son nouvel ami en lui tapant dans le dos. C’est une grande fille ! Elle ne t’a pas attendu pour profiter de ma bestiole !
    — Plaît-il ?
    
    Voilà que je parle comme dans un film en costumes moi !
    
    — Tu ne te rappelles pas de moi ? Tu vas me vexer ! me gronde le grand balèze.
    
    OH, MON DIEU ! Si je me souviens ! Ça n’est pas bien clair mais… Merde alors ! Quel engin ! Je décide quand même de faire comme si de rien n’était.
    
    — À vrai dire, je ne me rappelle pas grand-chose ce matin.
    — C’est parce que nous, les Noirs, on se ressemble tous, c’est bien connu. Surtout dans le noir !
    
    C’est qu’il fait de l’humour ce con ! Il a un sacré bon gros rire caverneux comme j’aime. Un rire que j’ai déjà ...
    ... entendu, je m’en souviens bien maintenant. Je viens de crier « Un Noir ! Il est pour moi, Sido ! » et lui il rit pendant que je me jette à ses pieds et que je tente fébrilement de déboucler sa ceinture. Il ne me laisse pas terminer : il m’attrape, me jette sur son épaule comme un fétu de paille et il me balance un peu plus loin sur un matelas, dans une alcôve. Je suis plus nerveuse à présent. Il n’y a que nous deux, Sidonie n’est plus là. C’est là que nos routes se sont séparées. Il libère son torse : waouh ! Je me précipite sur lui mais il me repousse. Sa main gauche bloque mes poignets au-dessus de ma tête pendant qu’il libère sa bite. Je la devine monstrueuse, je voudrais m’échapper mais il pèse de tout son poids sur mes avant-bras tout en se frayant un chemin entre mes cuisses. Son gland joue avec mon clito. Je déglutis avec peine. Soudain il plonge en moi. Je ferme les yeux tandis que son sexe fouille mes entrailles et que sa bouche dévore mon cou. Je pars. Encore une fois.
    
    Du coin de l’œil, je réalise que Marc m’observe avec attention, l’air perplexe. Je pose une main apaisante sur sa poitrine.
    
    — Ça va Marco ?
    — Oui oui. T’inquiète. C’est juste que… Voilà quoi…
    — Tu aurais voulu être là, c’est ça ?
    — C’est ça… Et puis tu avoueras que c’est quand même con de réaliser un fantasme et de ne pas t’en souvenir !
    — Mmm. Je sens que les souvenirs remontent à la surface.
    
    J’adresse un grand sourire à Lisandro, hilare.
    
    — Je crois même pouvoir affirmer que ton ami ...
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