La reine du bal
Datte: 03/12/2024,
Catégories:
fh,
fhh,
fhhh,
cérébral,
confession,
couple,
Auteur: Ericcontact, Source: Revebebe
... amour… Aah, je vais… Oooh, je… AAHHHH ! ! !
Elle se tend d’un coup, s’arc-boutant en arrière et reste comme ça, figée dans un long gémissement.
Je reste un moment immobile, la laissant savourer son orgasme.
Elle se détend un peu, et j’en fais autant en m’adossant sur l’autre accoudoir.
— Ahnn, chéri, c’était… Waouh ! s’exclame-t-elle.
— Tout le plaisir était pour moi, ma reine.
— Oh non ! Que pour moi ! dit-elle en riant délicieusement. Mais je suis ta reine alors ?
— Bien sûr. Tu esma reine du bal.
Séverine se redresse un peu et me regarde intensément, puis m’embrasse langoureusement.
— Il y a quelque chose que j’ai envie de faire, là maintenant, mais il va falloir que tu patientes une minute, me dit-elle soudain.
— J’ai tout mon temps pour toi, là.
— Je reviens.
Elle se lève tout en marchant vers les escaliers dans une contorsion fabuleuse, elle retire et jette au loin la robe qui la vêtait.
Je vois disparaître dans les dernières marches ses fesses ondulantes. Et un court instant après, j’entends sa voix avant de l’apercevoir redescendre.
— Il y a quelques années tu… étais souvent en déplacement tu te rappelles ? me crie-t-elle depuis le début des marches à l’étage.
Elle apparaît, féline, nue et sublime. Ses gros seins pendent avec gourmandise et sa démarche absolument érotique souligne ses formes ô combien phénoménales ! Et ses bras cachent quelque chose dans son dos.
— Oui, je me rappelle très bien, dis-je en essayant de ...
... deviner.
Elle se rassoit à sa place, les mains toujours dans le dos.
— Donc comme j’étais seule assez souvent, je m’étais acheté un petit truc pour mes longues soirées sans toi. Comme je veux que tu saches tout…
Elle ramène ses bras et me montre… un gode. Très réaliste, tout y est : queue, couilles et… une ventouse. Mais ce qui me surprend le plus c’est sa taille. Il est bien plus gros que moi.
— Je… ne m’en suis plus servi depuis des années, dit-elle en passant son doigt sur le gland.
— Tu… l’utilisais souvent ?
— À chacun de tes voyages. Une ou deux fois, parfois plus.
Elle se mord la lèvre inférieure, j’adore ce tic sublime et elle pose le gode sur la table basse. Elle vient alors s’asseoir à califourchon sur moi, le peignoir mi-ouvert depuis tout à l’heure laissant s’échapper mon sexe toujours franchement dressé. Assise ainsi, son pubis contre ma tige, elle ondule doucement et vient m’embrasser longuement. Elle me murmure ensuite à l’oreille :
— Ta petite femme se sentait seule, tu ne lui en veux pas ?
— Bien sûr que non, ma belle.
— Ça ne te remplaçait pas mais… c’était assez efficace.
Je ne mentionne pas la différence notable de taille, surtout qu’elle m’agrippe avec sa main.
— C’est celle-ci que j’attendais, tu vois ?
— Han han… fais-je en prenant ses seins dans mes mains.
— Tu les aimes, hein ?
— Oh ça oui… ils… devaient en être fous aussi.
— Hnnnn, oui… feule-t-elle tandis que j’engloutis un mamelon entier dans ma bouche.
— Mes amants ils… ...