La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1644)
Datte: 02/12/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... avec sa langue agile la verge à demi-molle du Majordome, puis rentre ce sexe devenu mou et referme la braguette. Ensuite l’homme se lève enfin. C'est 14h20. J'ai les jambes et le dos lessivés, je suis épuisé et une faim de loup me tiraille l’estomac. Il tire de nouveau sur la laisse pour repartir et arrivé devant l’encadrement de la double-porte, je sens par derrière moi un violent coup sur mes fesses qui me surprend et me fait sortir un cri de douleur subite. Le temps de tourner la tête et je vois la sadique cuisinière levant le bras avec une impressionnante cravache en main :
- Ca c’est pour te rappeler à mon bon souvenir, espèce de bâtard. Un de ses quatre, tu seras devant mes pieds et je te promets de te dresser comme il se doit, espèce de larve insignifiante, me dit Madame Marie avec un ton des plus méprisants…
Puis le Majordome lui sourit d’un air complice et tire de nouveau sur ma laisse et nous quittons les cuisines…Je ne suis plus un homme, tout cela est bien fini, je ne suis qu’un chien battu et que l’on va dresser. Arrivés tout au fond d’un long couloir, une haute porte vernie s’ouvre et on se retrouve à l’extérieur dans ce vaste parc magnifique mais celui qui donne derrière l’ancestrale Bâtisse… Monsieur Walter m'emmène sous un hangar ouvert où est garé un 4x4 avec un plateau à l’arrière qui ressemble plus à une bétaillère couverte. Il soulève une épaisse bâche.
- Va y, vermine, monte et tais-toi, je ne veux pas t’entendre japper !
Décidément il me ...
... prend vraiment pour un chien, ce que je me sens de plus en plus, et le pire (ou le meilleur) c’est que ça me fait terriblement bander ! Je me retrouve alors sur de la paille à même le plancher, enfermé dans cette bétaillère. Le Majordome démarre et on s'en va.... Mais où ? On ne roule pas très longtemps, environ quinze minutes dans des chemins de traverse d’après les cahots de la voiture qui s'arrête après ce trajet dans la campagne beaujolaise. J’entends qu’un portail électrique s'ouvre et le véhicule redémarre et entre dans une cour. Le 4x4 stoppe à nouveau... Je ne vois rien, je ne sais pas du tout où je me trouve. J’'entends Monsieur Walter saluer quelqu'un, ils parlent au moins cinq minutes mais assez loin pour que je ne puisse comprendre ce qu’ils se racontent… Puis on se rapproche et enfin on soulève la bâche.
- Descend, le chien ! m’ordonne le Majordome
Je descends et je me retrouve à quatre pattes sur de la terre battue. Et là je suis figé, je vois ma voiture, ma BMW. Je suis chez cet homme bizarre et mal poli de ce matin où j’avais laissé mon véhicule. Nous avons donc rejoint le village, certainement par des chemins en guise de coursière
- Voilà le chien, Marcel. Monsieur le Marquis veut un soin complet.
- Bien, y a pas de soucis. J'en ai pour une petite heure.
- Pas de souci, j’ai tout mon temps, en attendant, je vais saluer ta femme, vas-y occupe-toi de ce sale bâtard.
- Oui et fait toi payer le café et la gnole ! … (puis s’adressant à moi : ) … ...