1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1644)


    Datte: 02/12/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Matthieu au Château – (devenu esclave Katia) - (suite de l'épisode N°1641) –
    
    Ensuite Monsieur Walter me met une laisse, me tire et me dit :
    
    - Aller le chien, suis-moi...
    
    Le Majordome me traine à travers les couloirs et je dois le suivre nu et à quatre pattes. Je croise des soumises et des soumis en train de récurer les parquets et qui ne me regardent même pas. Visiblement pour eux, comme pour tous ceux qui vivent dans ce monde de la Domination/soumission, être nu, en quadrupédie et mené en laisse est d’une banalité évidente. Il va donc falloir que je m’y habitue aussi afin que cela devienne, pour moi également une normalité quotidienne... Les mots du Maitre résonnent encore dans ma tête... Homo... Maso... Moi homo ? Maso ? Je ne sais plus, je n'arrive plus à penser…Suis-je vraiment maso et homo ? Non je ne pense pas, et pourtant pourquoi ce profond plaisir en étant battu et en suçant des bites, pourquoi ce besoin de me faire enculer pour me sentir possédé physiquement ?... Je suis toujours ce Walter qui tire sur ma laisse, ça me fait mal et je dois accélérer, moi qui n'a pas l'habitude de me déplacer ainsi. On traverse encore des couloirs, on descend un étage et le Majordome me fait entrer dans de vastes cuisines entièrement carrelées où trônent d’immenses plans de travail en inox et très équipés de volumineux éviers, de hôtes d’évacuation de buée, de lave-vaisselles, de longs placards, etc… Il y a de quoi préparer à manger pour tout un régiment ! Oh et comme ça sent ...
    ... bon.... Humm, quel parfum, alors ça me met en appétit et tout à coup mon ventre crie famine. Je me demande quelle heure est-il ? J'ai perdu la notion du temps depuis mon arrivée ce matin à 10h30. En fait, je vois une haute horloge et je réalise qu'il est déjà 13h30. J'ai faim, j'ai trop faim. Le Majordome me fait stopper et mettre à genoux :
    
    - Tu restes là et tu attends, sale chien.
    
    - J'ai faim, s’il vous plait, je vous en prie !
    
    J'ai osé lui demander ! Et là je ne l'ai pas vu arriver derrière moi, on me tire les cheveux pour me faire relever la tête en arrière et je me prends une magistrale gifle venant de derrière par le dessus et qui me couche sur le côté.
    
    - Quoi ? Qu'est-ce qu’il réclame celui-là ?... espèce de vermine, à peine arrivé, il a déjà la fringale, ce bâtard ! … Tu veux bouffer ? T’as faim ? Alors, tu boufferas assez vite ma chatte, espèce de chien, mais pour ça faudra le mériter…
    
    Je relève un peu la tête pour voir qui m’a frappé et qui me parle ainsi d’un ton si sévère et sans concession. Je vois alors une grande femme assez corpulente qui en impose au premier coup d’œil et que je ne connais pas : La quarantaine passée, des cheveux noirs et courts, assez bien en chair dans sa tenue stricte, sans maquillage, ni bijoux. Une généreuse poitrine que l’on devine sous un chemisier noir accompagnée d’une jupe en sky, assortie de bas résilles…. Elle parait visiblement rustre et sévère, un visage impassible avec des yeux ronds et marrons au regard hautain ...
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