La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1664)
Datte: 29/11/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... se retourne, me regarde, sourit avec perversité et me dit vicieusement :
- Suce, salope !
Je lève la tête, je vois son sexe flasque avec quelques gouttes d'urine qui coule à terre. Non, je ne peux pas faire ça, je ne peux pas me dégrader comme cela. Une terrible gifle me ramène à ma réalité.
- Suce, j’ai dit !
Alors vaincu, je m'approche et je prends en bouche ce sexe encore imprégné d'urine. Ça pue la pisse et je suce comme le clébard que je suis. Tout en suçant, je sens quelques gouttes d'urine dans ma bouche. Je suis écœuré mais je n'ai pas d'autres choix que de nettoyer la hampe de Monsieur Walter. Après 10 bonnes minutes à me baiser la bouche, il se vide les couilles dans ma gorge et j'avale son sperme comme une pute, ensuite je nettoie son sexe. Je pue le sperme, la sueur et la pisse. Il me fait nettoyer ensuite la cuvette avec ma langue. Je suis dégouté et en même temps je ressens cette excitation si forte d'être contraint, forcé, avili, j'en bande terriblement, je suis vraiment devenu une autre personne. Bien réfléchi, même pas une personne, je suis devenu un esclave, un animal, un chien obéissant. Presque 3h de travail intense et j'ai enfin terminé... Je suis lessivé, mes genoux et mes mains me font horriblement mal. J'en peux plus d'être à genoux ! Madame Marie, cravache en main, vient inspecter si tout est nickel…
- Tu as tout nettoyé, salope ?
- Oui Madame Marie
La cuisinière soulève le rabattant de la première cuvette de WC... Son regard ...
... devient glacial, réprobateur :
- Et ça, c'est propre, bâtard ?
Je regarde et minceeeee, j'ai complètement oublié de nettoyer les dessous des rabattants...
- J'ai oublié, Madame, je l'ai ai tous oublié, Madame Marie, répondis-je ma voix tremblante.
- Oublié, oublié ? Monsieur a oublié ! Espèce de vermine, un esclave ne doit jamais oublié, Ja... Mais !
Madame Marie me flagelle alors abondamment le cul par de virulents coups de cravache, puis illico pesto, elle me prend vigoureusement par le collier et me jette au milieu de la galerie des glaces. Elle fait stopper tout le monde pour annoncer de vive voix :
- Cette putain a oublié ! Je peux vous garantir qu'elle n'oubliera plus, dit-elle en continuant de me cravacher les fesses.
Ses yeux sont noirs de colère et elle respire bruyamment. J'ai peur, vraiment peur. La cuisinière me couche sur une table en bois massif, m'attache les mains et les pieds. Je suis écartelé et mes membres sont tendus à l'extrême. Elle se saisi d'un martinet à lanières longues et elle commence à me fouetter le dos et le cul.... Aie... Aie... Elle abat le martinet avec une violence extrême. Je pleure, je supplie, je ne peux pas esquiver les coups mais je bande plus que raison. 100 coups, oui j’ai bien dit 100 coups sur mon corps nu et servile, sur mon dos et mes fesses striées et fortement rougies. Je suis un amas de douleur. Je pleure comme un enfant ou plutôt je gémis bruyamment comme un chien battu. Madame Marie me laisse ensuite ainsi 15 ...