La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1664)
Datte: 29/11/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Matthieu au Château – (devenu esclave Katia) - (suite de l'épisode N°1660) –
Ma nouvelle vie continue.... Après plusieurs minutes à évoluer en quadrupède, alors que je suis tiré de nouveau par une laisse, Monsieur Walter me fait entrer dans une salle immense au parquet parfaitement ciré, tellement brillant où on pourrait de voir dedans. Une salle absolument magnifique, décorée somptueusement avec des immenses lustres éclairés pendant d’un haut plafond à la française aux épaisses poutres d’une autre époque. Des somptueux tableaux aux murs, toiles dignes du musée du Louvres. Aux hautes fenêtres, de larges tentures de couleur bordeaux en velours épais, un mobilier style Louis XV, aux beaux meubles tels des bureaux richement décorés, des tables ouvragés et finement vernies et aux poignées de tiroir en or, des chaises au dossier rembourré d’un tissu d’ameublement digne d’un salon de ministre, des meubles-secrétaires marquetés d’un éclat des meilleurs bois, bref une décoration incroyable... Vraiment ce Monsieur Le Marquis a du goût. Cette immense et luxueuse salle me rappelle un peu la galerie des glaces à Versailles avec ses hautes fenêtres sur un côté donnant sur le parc du Château et sa profondeur offrant une large perspective, ses très belles tapisseries murales, un décorum somptueux…
Il s’y trouve déjà plusieurs soumises et soumise esclaves qui s'activent dans le plus grand silence. Tous nus, j'en vois en train de nettoyer des magnifiques tables et les chaises qui les ...
... accompagnent. D'autres frottent de magnifiques fauteuils. Plusieurs à quatre pattes, presque en position prosternée avec leu cul relevé nettoient le sol au parquet brillant. Pas un mot, pas un bruit, juste le mouvement des coups de torchons et du frottement du cirage sur le sol. Ils sont tous comme moi, nue et encagés pour les hommes et les femmes nues également avec des ceinture de chasteté pour certaines, mais toutes et tous portent un collier au cou avec une inscription de leur nom d’esclave… Tout à coup une voix forte, puissante, très autoritaire résonne et rompt ce silence et je reconnais la voix de Madame Marie :
- J'ai besoin d'une salope, ici !
Je sursaute car je ne me rendais pas compte comme ça résonne dans cette vaste pièce. Monsieur Walter me tire alors en sa direction.
- J'ai cette petite pute en laisse, si tu veux, Marie.
- Ah oui, parfait, celui-là, je vais te le faire bosser comme jamais il a dû le faire dans sa vie de bourge. Viens par ici, salope de chienne !
Je suis tremblant, elle me fait peur cette mégère si sadique et perverse. Je suis là devant elle, tête baissée et j’avoue que je n’en tiens pas large. La cuisinière me donne un grand coup de pied aux fesses et me fait avancer droit devant :
- Va droit devant, la putain, c’est la première porte à ta gauche, qu’on va !
Je me déplace le plus vite qu’il m’est possible, et une fois devant ladite porte Madame Marie me fait entrer dans une autre grande pièce entièrement carrelée mais de bien ...