Rémy - Histoires de Sexe

Rémy

... te faire jouir de cette façon. Mais je vais me rattraper, je te le promets ! J’ai appris d’autres trucs pour te faire vibrer et capoter…
— Tu as pris des cours ? Non, je déconne…
— Oui, j’en ai pris ! Mais avec une femme !
— Euh, tu me fais marcher là ?
— J’en ai l’air ? C’est pourtant la vérité : je suis devenue lesbienne parce que les garçons m’ont trop harcelée et dégoûtée, surtout au lycée. J’ai fait l’amour avec plusieurs femmes, mais toi tu es le seul homme qui m’ait jamais touchée, le seul qui me donne envie…
— C’est gentil, tu me fais plaisir. Et ta prof, qui est-ce ? Je la connais ?
— C’est Mylène, la gynéco, qui s’est « occupée » de moi.
— Et tu as consulté un autre médecin ?
— Un ? Une bonne quinzaine, oui !
— Et alors ?
— Toutes et tous ont constaté que j’étais devenue une fille – ce que je savais avant eux – mais ensuite ils ne sont plus d’accord sur la suite à donner ou sur une éventuelle opération. J’ai donc décidé de me ranger à l’avis de Mylène et de Thomas, son mari. Mylène m’a d’ailleurs dit :« Si tu veux que je vous aide à réfléchir, viens me voir avec Rémy, et nous réfléchirons ensemble ! »
— Pourquoi pas ? Pour moi, c’est d’accord !
— OK pour moi aussi, mais pour un peu plus tard. Je te préviens : Mylène est une libertine qui a un gros appétit. Il faudra que nous nous mettions d’accord avant…

Je n’ai pas bien compris ce qu’elle a voulu dire, mais ma bite reprend vie et Alona s’en aperçoit. Elle prend une serviette, se couche dessus sur ...

... le côté et m’invite :

— Colle-toi derrière moi, mets ta queue entre mes cuisses.

Je m’exécute et je suis surpris de sentir mon pénis coulisser très facilement entre ses cuisses : la coquine a probablement mis du lubrifiant ; maintenant je sais pourquoi elle avait un tube !

— Caresse mes seins, et fais comme si tu me baisais.

Je ne lui fais pas répéter ! Je la caresse un peu partout, ses seins sont à la bonne taille pour mes mains. Ils sont ma cible préférée. Alona soupire et se tortille. Je commence des mouvements de va-et-vient et je sens ses cuisses me serrer au même rythme. J’ai vraiment l’impression que mon phallus coulisse dans un vagin. J’en profite largement, mon excitation monte lentement, je sens que je ne vais plus tenir longtemps. Elle dit :

— Tu vas trop vite, fais durer et profite…

Elle a raison, un peu de patience ! Mais tout à coup mon gland me signale qu’il est victime d’une caresse supplémentaire : elle vient de le prendre au creux de sa main, avec un peu de lubrifiant et le câline amoureusement. C’en est trop, je pousse un cri, mon sperme gicle et inonde sa main et la serviette. Si c’est Mylène qui lui a suggéré cette pratique, elle gagne à être connue…

Alona part à la salle de bains faire un brin de toilette, et revient avec une autre serviette. Elle l’étend sur le lit, se couche dessus en me présentant ses magnifiques fesses, que je lui caresse avec gourmandise.

— J’ai envie de te sentir en moi, comme une vraie femme. Tu seras le ...