Rémy - Histoires de Sexe

Rémy

... fille ? Allons donc, elle me fait bander comme jamais ; la nature a repris ses droits, et mon pénis se tient très élégamment droit comme un I (majuscule).

— Tu m’as caressé un sein, tu as aimé ?
— Excuse-moi, c’était involontairement.
— Tu peux les toucher, ce sont des vrais, ils sont un peu petits, mais je n’ai pas de silicone, ils sont très sensibles et… j’aime bien !

Je ne lui demande pas de répéter, je lui effleure les mamelons que je devine sous ses vêtements, elle ferme les yeux, soupire et m’invite :

— Tu ne crois pas qu’on serait mieux dans ma chambre ?

Oh, que si ! Elle me prend la main et m’emmène dans sa chambre, joliment décorée, une chambre de poupée, qui ne peut appartenir qu’à une fille. Elle enlève son chemisier et sa jupe, et m’apparaît en lingerie : une bombe atomique !

J’ai déjà vu et téléchargé des photos de mannequins célèbres, de préférence pas trop habillées, en lingerie ou en bikini. Sur mon PC, mes fonds d’écran sont très attractifs, pour qui aime les jolies femmes. C’est d’ailleurs à cela que je reconnais les hypocrites, ceux qui font semblant d’être choqués, quand j’allume mon PC devant eux.

Alona pourrait être l’une de ces stars. Elle est aussi magnifique et bandante qu’elles. Mais elle ne sera jamais mannequin… elle ne mesure qu’un mètre soixante environ, et doit peser – au pif – cinquante kilos. Moi, avec mon mètre quatre-vingt-douze et mes cent kilos, je pourrais la soulever et la poser sur une seule main.

Alona est une ...

... miniature, une poupée, un modèle réduit, une petite fée comme la fée Clochette. Petite, mais super bien foutue, avec des courbes à damner un saint (que je ne suis pas du tout). Et la coquine a choisi des dessous violet brillant comme de la soie, bordés de dentelle noire, qui me font un de ces effets…

— Comment me trouves-tu ? Je te plais ?
— Tu es merveilleuse ! Je vais te manger…

Mais… il y a encore un détail qui m’interpelle : je ne vois aucune bosse dans sa culotte, et mieux, je devine le relief de ses lèvres ! Encore une entourloupe ? Je lui demande sèchement :

— Tu me dis que tu es une fausse fille, mais ce que je vois appartient à une vraie et belle fille. Je peux toucher ?
— Tu ne me crois pas ! Alors, touche, mais tu seras déçu.
— Ne te fâche pas. Mais tu peux comprendre que j’ai un doute ?

Elle prend ma main, la pose sur sa culotte, et je sens nettement des lèvres que je caresse. Elle me demande de la déshabiller, ce que je fais avec plaisir, et là, au moment où son pénis se libère, je comprends : elle a de fausses lèvres en silicone, qui font partie de sa culotte ! Et son pénis commence à vivre sa vie et à grandir…

— Voilà ! Bien des femmes ont de faux seins et de vraies lèvres, moi c’est l’inverse ! Tu es content maintenant ?
— Calme-toi, Alona. Ce qui est important c’est ce que tu ressens quand je te caresse : ton pénis est-il sensible ? Comme celui d’un homme, comme le mien ?
— Oui, mais Mylène m’a dit que ce n’est pas un pénis, c’est un grand ...