1. Jouer la comédie (1)


    Datte: 21/07/2019, Catégories: Hétéro Auteur: SexyMargaux, Source: Xstory

    ... retrouvais la fougue du premier baiser, et la suite s’enchaîna vite.
    
    J’ouvris la porte de l’immeuble, et pendant que l’ascenseur rejoignait mon étage, j’avais déjà ouvert sa veste et lui la mienne.
    
    Alors que je déverrouillais ma porte d’entrée, il m’embrassait dans le cou, me déconcentrant. Enfin la porte s’ouvrit et le noir de l’appartement nous accueillit.
    
    Nos vêtements volèrent rapidement, jusqu’à nous retrouver en sous-vêtement, nos mains avides de la découverte d’un nouveau corps.
    
    Je le pris par la main et le guidai jusqu’à ma chambre. Nos baisers reprirent, et il libéra mes seins de leur soutien-gorge. J’adore la sensation de mes seins nus contre un torse. Il s’arrêta de m’embrasser pour admirer mes seins, il les caressa avant de les embrasser, de laisser sa langue parcourir mon téton, me faisant gémir de plaisir. Il passa de l’un à l’autre, me rendant humide de désir.
    
    Je le repoussai en arrière, il se retrouva allongé sur le dos, je me glissai sur lui, et plongea la main directement dans son caleçon où elle fut accueillie par une jolie érection. Un râle lui échappa quand ma main se referma sur son membre et ses mains s’accrochèrent à mon cul.
    
    Je le masturbai doucement, sentant sa queue bien dure entre mes doigts. Il attrapa le bord de mon string et me le retira, glissa sa main sur ma vulve dont il savoura l’humidité. Après quelques caresses, je ne tenais plus, et mon bassin dansait au rythme de ses ...
    ... doigts.
    
    Il me retourna, me faisant lâcher mon étreinte autour de sa bite et me faisant glisser sous lui. Il se leva, retira son caleçon, et comme pour répondre à sa question muette, j’ouvris le tiroir de ma table de nuit pour lui tendre un préservatif. Il l’enfila rapidement puis se pencha sur moi et me pénétra doucement. Je m’accrochai à ses bras musclés et savourai la sensation de sa queue en moi.
    
    Il commença à bouger doucement, délicatement. Je le plaquai contre moi pour l’embrasser et lui murmurai à l’oreille que je n’étais pas en sucre. Il comprit le message et accéléra le rythme, m’empalant littéralement sur son membre, son corps tenant le mien fermement.
    
    Je criais de plaisir, j’avais de plus en plus chaud, je sentais sa queue tout au fond de moi, et j’aimais ça. Je voulais qu’il me prenne encore et encore, qu’il me baise pendant des heures. Je sentais mon orgasme arrivait et je tentai de le prévenir :
    
    « Je... je vais... murmurai-je.
    
    — Chut, lâche-toi, t’inquiète pas, me répondit-il. »
    
    Il accéléra encore, me serrant encore plus fort et il suffit de quelques secondes pour que je jouisse dans ses bras, mes cris déchirant le silence de la nuit. Mon orgasme déclencha le sien, et ses doigts se plantèrent dans la chair de mes fesses.
    
    Nous nous écroulâmes l’un sur l’autre, haletants et en sueur. Les premières minutes s’écoulèrent en silence puis il me regarda et dit : « Tu sais que je ne connais toujours pas ton prénom... ». 
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