1. Jouer la comédie (1)


    Datte: 21/07/2019, Catégories: Hétéro Auteur: SexyMargaux, Source: Xstory

    ... vais commander un taxi, t’inquiète pas, le rassurai-je.
    
    — Je viens d’en réserver un sur l’appli, me dit-il en me montrant son téléphone, on le partage si tu veux, tu vas de quel côté ?
    
    — Dans le centre, vers la place Blaise Pascal.
    
    — Parfait moi aussi. »
    
    Nous attendîmes le taxi à peine quelques minutes, mais cela suffit à me glacer dans le froid de la nuit. Je frissonnais dans mon short malgré ma grosse veste.
    
    La chaleur de l’habitacle était parfaite, et je somnolais presque quand le taxi s’arrêta le long de la place. Maxime paya le taxi et refusa le billet que je lui tendais pour partager le prix de la course. Il sortit avant moi et me tendit la main pour m’aider.
    
    Le taxi repartit aussitôt pour continuer sa tournée. Je frissonnai de nouveau dans le froid. Il s’approcha et me serra contre lui pour me réchauffer. J’étais surprise, mais toute source de chaleur était la bienvenue. Il posa sa main sur ma cuisse et je sentis sa chaleur à travers mon collant en résille.
    
    « Tu es vraiment gelée ! Il me serra encore plus fort contre lui.
    
    — T’inquiète pas, j’ai l’habitude, une douche chaude et c’est bon.
    
    — Tu es loin de la place ?
    
    — Une dizaine de minutes à pieds environ, puis marcher me réchauffera.
    
    — Je te raccompagne. »
    
    Je compris au ton de sa voix que ce n’était pas une question ou un point négociable. Nous marchâmes rapidement dans les petites rues, et quelques minutes plus tard, nous étions arrivés.
    
    « Tu sais, cette Marine, ça a l’air ...
    ... d’être une sacrée conne, alors ne la laisse pas t’atteindre, fais comme si elle n’avait jamais existé, ça la rendra encore plus folle, lui dis-je en cherchant mes clefs dans mon sac.
    
    — Ouais c’est sûr, mais si elle n’avait pas existé, tu m’aurais pas aguiché sur le banc de la fac, me répondit-il, un peu mutin.
    
    — Moi ? Je ne t’ai pas aguiché, je t’ai rendu service, répondis-je au moment où ma main se refermait sur mon trousseau de clefs.
    
    — Et quel service ! S’exclama-t-il ».
    
    Pendant la conversation il s’était rapproché de moi, et après sa dernière phrase, il était assez près pour que je sente son souffle sur ma peau. J’avais envie qu’il m’embrasse, mais plus pour jouer cette fois, qu’il m’embrasse pour de vrai.
    
    Il posa sa main sur ma cuisse comme il l’avait fait sur la place, il la fit remonter sur ma hanche, la glissa sur mes reins pour me coller à lui et m’embrassa. Ce baiser fut plus doux que celui échangé lors de la soirée. Il fut plus court aussi et il était un peu embarrassé quand il s’écarta de moi.
    
    « Euh ça, c’était pas prévu hein, bafouilla-t-il, fin j’espère que ça t’a pas dérangé, c’est pas comme si on était dans un lieu où elle pouvait nous voir... » Il continua sa phrase, mais je ne l’écoutais plus, je m’approchai de lui et l’embrassai à nouveau, pour lui montrer que ça ne me dérangeait pas, que ça me plaisait.
    
    Il fut un peu surpris mais reprit vite le dessus, me collant à lui, contre le mur, et sa main se posa directement sur mes fesses. Je ...