Dans Le Bus Ch. 04
Datte: 26/11/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bytrouchard, Source: Literotica
... fait.
Mais encore une fois, je vois aussi l'article de presse avec ma photo de fin d'étude, article expliquant tout ce qui m'est arrivé, que j'ai laissé le groupe me violer encore et encore. Certains diraient sûrement que j'en ai profité aussi, car j'ai joui plusieurs fois. Et puis chaque fois que quelqu'un me chercherait sur Google, il apprendrait cette histoire qui me suivrait partout. Alors je me tais et marche.
Bientôt je sens du béton sous mes pieds. Puis des rainures. Je pense que je suis sur un trottoir, car les rainures sont espacées régulièrement. J'essaie de distinguer l'endroit où ils m'ont amenée, mais avec mon chemisier sur les yeux, je ne vois que des contours.
- Arrête-toi! Commande Paul.
J'obéis, ivre. Je ressens vraiment les effets de l'alcool maintenant et j'ai l'impression que mon esprit est au ralenti. Il me faut beaucoup plus de temps que d'habitude pour arriver à construire une pensée cohérente, ce qui n'est pas bien. D'un autre côté, j'apprécie cette sensation, car je ne m'inquiète pas comme d'habitude de chaque petite chose. Quand j'essaie de penser, j'entends les battements de mon cœur.
Des mains se posent sur mes épaules à nouveau et on me tourne. Puis on me tire en arrière. Je les laisse faire et les picotements dus à ma soumission augmentent encore plus. J'ai presque envie de sourire tellement c'est vicieux ce qu'ils me font, mais aussi presque excitant.
Je dois admettre que j'aime ça. Aussi bizarre que cela puisse paraître, ...
... j'aime qu'ils me traitent ainsi. Que suis-je? Je ne suis pas vraiment sûre. Une soumise? Une esclave sexuelle? Je ne sais pas. Mais j'ai apprécié qu'ils me fassent parader nue, avec mes gros nichons d'intello à la vue de tous. A ce moment je dois m'empêcher de rire, car je n'ai jamais fait auparavant référence à mes seins en les traitant de « gros nichons d'intello ». C'est sûrement l'alcool qui me fait parler comme ça.
Je sens alors que mes mains sont soulevées en l'air. Des personnes de chaque côté saisissent mes bars et les soulèvent vers le haut. Encore une fois, je me laisse faire , car je n'ai aucune idée de ce qu'ils veulent. Ils sont rapides, pressés. J'essaie de voir derrière le tissu de mon chemisier, mais il fait trop sombre.
Finalement, je me demande pourquoi ils lèvent mes bras et je commence à paniquer. J'ai toujours les menottes. Avant que je puisse réagir ou bouger, j'entends le cliquetis qui verrouille les menotte. J'essaie alors de tire un coup sec avec mes deux mains, mais je m'aperçois qu'elles sont attachées en l'air.
Je tire encore et encore, mais mes bras sont maintenus en l'air et écartés. Quand je tire, j'entends un son métallique qui me permet de dire qu'ils ont attaché les menottes à une barre en fer. Alors que je continue à essayer de me libérer, j'entends le groupe de gothiques ricaner et rire. J'ai l'impression qu'ils ne se soucient plus de faire du bruit. Et ils ne se soucient pas du bruit que je peu faire en essayant de m'échapper.
Puis ...