1. Dans Le Bus Ch. 04


    Datte: 26/11/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica

    ... si étrange et intense que j'ai le souffle coupé. Puis je réalise. Et si des gens me voient comme ça? Je suis dehors, nue! Vraiment dehors, à l'extérieur! Et si ces salauds voulaient m'exhiber à d'autres? Je tends l'oreille et comme il n'y a pas de bruits, je me dis que ce n'est pas ça.
    
    - Bouge! Dit Paul en me poussant dans le dos alors que les autres descendent du bus.
    
    Effrayée, je commence à marcher dans la direction où il me pousse. Je garde mes mains dans mon dos comme ils le veulent et je suis très consciente de la façon dont mes gros seins nus se balancent. Ils bougent tellement que je me dis que ça doit en être comique.
    
    - Regardez ces grosses mamelles se balancer! Dit l'un des gars.
    
    Les autres rient. Mon visage rougit en voyant que je n'ai pas été la seule à le remarquer. Je n'ai jamais marché avec mes seins libres, donc la sensation est étrange.
    
    - Fermez vos gueules! Ordonne Paul.
    
    Je comprends alors qu'il est inquiet que quelqu'un puisse les voir. En réalisant cela, je me mords les lèvres en pensant que je pourrais crier à l'aide, que quelqu'un m'entende et qu'ils aient ce qu'ils méritent ces salauds.
    
    Mais j'oublie cette idée en réfléchissant à ce que ça signifierait pour moi. Si je crie et que j'attire l'attention de quelqu'un, tout le monde saura que j'ai été violée. Et pire, toutes les choses que j'ai dû faire, comme lécher la chatte d'une fille, se sauraient, sans parler que l'on me verrait nue. Après tout, mon avenir est prometteur. J'ai ...
    ... juste besoin de survivre à cette épreuve et tout ira bien. Je suis quand même la première de l'université.
    
    Ils me font marcher et marcher, mes seins rebondissant, car je ne peux les empêcher. Aucun des membres de la bande ne dit quelque chose alors que nous avançons. S'ils le font c'est en chuchotant ou en gloussant sans que je puisse vraiment entendre. En marchant, j'essaie de comprendre où ils m'emmènent. J'ai de l'herbe sous les pieds et non du béton, donc nous ne nous dirigeons pas vers l'hôtel où ils doivent dormir. Il y a peu de lumière donc nous ne sommes pas dans une zone habitée.
    
    - Ici! Dit Soudainement Paul.
    
    Des mains me saisissent par les épaules et me tournent légèrement vers la droite avant de me pousser à nouveau. J'entends des ricanements, mais je continue à marcher. Je réfléchis au fait que je garde toujours mes mains derrière moi. Et je me demande pourquoi? Est-ce que ça fait une différence? C'est encore une de leurs méthodes pour me contrôler et m'humilier. Et je leur donne le pouvoir de le faire. Pourquoi je laisse faire?
    
    Cette pensée me donne l'envie de crier à l'aide. Je pourrais crier jusqu'à ce que quelqu'un vienne. Et quand il arriverait, les flics suivraient peu après. Des images des gothiques pris en photo au poste de police apparaissent dans ma tête. Je glousse intérieurement. Je les vois effrayés alors qu'ils vont aller en prison avec de vrais délinquants, hommes et femmes, et qu'ils vont ressentir les mêmes choses que ce qu'ils m'ont ...
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