1. Les malheurs de Clotilde Ch. 11


    Datte: 25/11/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... chair fragile. Elle est ligotée à la façon d'une momie, et le haut de son visage est recouvert d'un large bandeau noir et malodorant. La jeune prof est donc dans la nuit, avec la possibilité que autour d'elle, ce fut le grand jour.
    
    Les craquements du sol furent là pour la distraire, en augmentant son effroi. On marche autour d'elle. Plusieurs hommes l'entoure. Puis des mains rampent sur son corps. Ce n'est pas seulement des frôlements. Ses nerfs se trouve être si tendus, que le moindre contact déclenche des frissons vigoureux et que ses dents en claquent. Ces mains inconnus arrache son soutien-gorge de sport. Mettant ses jolis et gros seins bien ronds à l'air libre. Ils palpent ses seins avec violence, malaxe la chair gonflée, mais tendre, s'amuse avec rudesse, des tétons d'une longueur certes peu communes, les masturbant, les pinçant, le étirant. Toutes ces manipulations portent la honte de la jeune professeure à son comble, car elle sent ses tétons durcir, contre son gré. Simple réaction de son corps.
    
    Sous les tractions brutales, les étirements, ses seins déjà bien confortable au naturel, enflent et se portent au-devant des rudes caresses. En son for intérieur Ninon se haït de n'être qu'une femelle, acceptant d'instinct tout sévices sexuel auxquels mentalement elle répugne. Ninon ne se débat, déjà vaincu, ne voulant pas voir arriver la colère de ses assaillants. Elle serre fort les lèvres et se mords la langue pour ne pas crier de douleur, pour ne pas donner ce ...
    ... plaisir à ses tourmenteurs.
    
    Mais les rudes battoirs qui miment les mouvements de la traite sur ses grosses mamelles, commencent de lui faire très très mal. Broyant les outres crémeuses emplies de sève, ils la contraignent à ouvrir ses dents et ses lèvres et à hurler. Musique divine qui ravit les brutes qui l'entourent. Ninon en eut la preuve, dans ce que plusieurs mains se succèdent pour broyer ses nichons, ils les tirent à les arracher de son torse. Visiblement ses cris et la belle chair qu'ils manipulent, mais aussi la joie sauvage de faire mal, portent l'excitation des rustres à son comble. La jeune prof à la sensation que ses magnifique attributs mammaires ne lui appartiennent plus. Qu'ils sont à qui veut bien s'en servir et les massacrer.
    
    Ninon réalise enfin que ces hurlements délirants qui envahissent la salle où elle se trouve, sont les siens. C'est ses cris de douleurs qui réjouissent ses tourmenteurs. Le bâillon ayant glissé, bien que le haut lui cache toujours les yeux. La jeune femme oublie ses douleurs mammaires parce que d'autres mains rampent sur ses jambes, s'engagent entre ses cuisses, et comme elle referme celles-ci, en étau, par pur réflexe, un énorme poing s'enfonce avec une telle violence dans son estomac que Ninon se mit aussitôt à vomir. En prime, pour avoir sali le sol, Ninon reçu d'un de ses agresseurs, une paire de gifle, qui faillit arracher la tête magnifique de la jeune prof de ses épaules.
    
    Emma :
    
    Emma elle, dort toujours, son père couché sur ...
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