1. L'engrenage


    Datte: 24/11/2024, Catégories: fh, hh, hhh, Collègues / Travail Oral hsodo, Humour initiatiq, gay Auteur: Leandre R, Source: Revebebe

    ... oublié Étienne de la soirée. Je suis à nouveau dur lorsque je m’endors, m’imaginant très bien ce que ce serait.
    
    ***
    
    On pourrait croire que je n’ai pas débandé de la nuit quand le réveil sonne. Je me lève sans déranger Claire qui commence bien après moi. En m’habillant, en prenant mon café, en préparant mon sac, mon repas pour midi, je ne pense qu’à lui. Je m’imagine ce que je pourrais lui dire en le dominant de toute ma hauteur. Pompe-moi bien, allez… Allez, suce…
    
    Je suis l’un des premiers à arriver au dépôt. Je prends un café en compagnie d’une secrétaire et de la responsable paye, puis je m’installe à mon poste. C’est simple. Étienne est l’un des informaticiens, j’ai juste à lui envoyer un mail.
    
    J’ai le cœur qui bat au moment de cliquer sur « envoyer ». Je me garde une porte de sortie, je pourrai toujours prétexter un humour merdique si je me suis trompé sur son compte. J’aimerais vous dire que je reprends mon travail, les réceptions de commande et les demandes à nos fournisseurs. Mais non, je reste sur ma boîte mail, que je réactualise toutes les dix secondes. Et je bande, je suinte dans mon caleçon.
    
    Il n’a pas traîné, et encore une fois je ne devine aucun second degré dans sa réponse. C’est dans moins d’une heure. J’ai encore le temps de reculer, de ne pas faire ça à Claire. En même temps, ce n’est que moi que ça regarde, ma liberté d’expérimenter, de vivre… Et c’est un mec, ça ne compte pas vraiment. Pour tout dire, ce n’est que de la curiosité, il n’y a ...
    ... aucun sentiment là-dedans.
    
    Les minutes se traînent, se marchent les unes sur les autres, ça n’avance plus du tout. Je suis fébrile. Je vais le baiser. Juter entre ses lèvres. Je m’essuie tout de même discrètement avec un mouchoir en patientant. Il est l’heure, je traverse les couloirs avec une nonchalance de façade. Petit sourire à la compta. Je bifurque, pousse la porte battante des toilettes. Personne devant les lavabos… Parfait ! La cabine de droite est fermée. Je tremble en donnant un petit coup contre.
    
    — Heu, c’est Max, je cherche Étienne.
    
    La porte s’ouvre, c’est bien lui, souriant comme toujours. Il porte un t-shirt Nirvana et je suppose que ce n’est pas le fait du hasard. Il me fait signe d’entrer et referme à clef.
    
    — Détends-toi, bébé, dit-il en s’agenouillant.
    
    Le surnom est grotesque, mais je m’en fous. Il ouvre mon jean sans hésitation, grogne de satisfaction en constatant que je suis bandé, et déjà sa bouche est contre mon caleçon à me mordiller à travers le tissu. Je suis bras ballants tandis qu’il me serre entre ses doigts et mord doucement. Puis il descend mon caleçon, hume mon sexe en pressant son visage contre et me lèche. Avec douceur, avec passion, avec science. Il descend sur mes testicules durcis, les prend en bouche, les aspire. J’ai le souffle court et lorsqu’il m’attire dans sa bouche, c’est le paradis promis.
    
    Il est incroyable, c’est un fourreau doux et ferme à la fois. Sa langue ondule et frappe. Il me déguste, me fait coulisser avec ...
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