Vrai ou faux 2 – Les débuts au parc public d’à côté
Datte: 24/11/2024,
Catégories:
mast,
fh,
jeunes,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
init,
dominatio,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... maintenant. Tout ton corps sera à ma disposition. Tu seras ma soumise, mon jouet, ma chienne et même plus…
— Hmmm-hmmm !
J’en oublie sans doute, je rectifierai ça la prochaine fois. Me laissant béatement cajoler par cette bouche fort efficace, je caresse ses cheveux :
— Je te rassure, je n’ai pas prévu de te fouetter jusqu’au sang, mais gare à toi si tu désobéis. Il n’y aura pas de pitié.
Elle frémit, mais n’en continue pas moins sa suave action autour de ma colonne de chair. Je ne suis pas certain de pouvoir faire ce que je viens d’énoncer, mais je sens confusément que le dire fait partie du jeu.
— Oooh ! Y a pas à dire, tu fais ça bien ! Je regrette franchement d’avoir eu des réticences à ton égard…
— Hmmm-hmmm…
— Je sais… je sais… Dorénavant, quand nous serons qu’à deux, je te montrerais ma face Mister Hyde et beaucoup moins de respect, petite salope !
— Hmmm-hmmm !!
— Oh oui, t’es une belle soumise, une belle dévergondée de première ! Et une bonne suceuse !
À peine ai-je dit ça que l’écluse s’ouvre toute grande, ce qui la dispense de me répondre. Dans un râle assourdi, je me vide en elle tandis qu’elle continue toujours sa fellation, avalant mon sperme au fur et à mesure que je l’expulse dans sa bouche si accueillante. Bien que je mollisse ensuite, elle continue de me câliner de sa bouche, afin de me nettoyer, comme elle l’avait fait tout à l’heure avec mes doigts. Je suis très heureux d’avoir osé franchir le pas, mon horizon est devenu nettement ...
... plus vaste à présent.
Puis toujours agenouillée, elle retire ma verge épuisée de sa bouche, puis avec un petit sourire étrange, elle me regarde droit dans les yeux :
— C’est bien comme ça que je voyais les choses avec toi, Léo…
C’est ainsi que ma carrière dans la domination a commencé…
Mon récit est à présent terminé. Comme la précédente fois, Marc me regarde avec des yeux ronds comme des soucoupes. Amusé, je lui demande :
— Alors ? Vrai ou faux ?
— Comme tu racontes bien ! On s’y croirait !
— Merci, Marc. Alors, ta réponse ?
Mon voisin se gratte la tête :
— Euh… Faux ! C’est quand même pas possible, un truc pareil ! C’est trop rapide !
— C’est ton dernier mot, Marc ?
— C’est mon dernier mot : c’est faux de chez faux !
Je souris, je laisse passer quelques secondes, puis j’assène sereinement :
— Une fois de plus, tu te trompes, Marc.
— Hein !?
— Oui, tu as faux, c’est totalement vrai.
Marc me regarde toujours avec des yeux ronds comme des soucoupes. Il articule :
— T’es sûr de chez sûr, Léo ?
— Tu me traites de menteur ?
— Alors c’est vrai de vrai ?
— Si je te le dis…
Au loin, les enfants s’amusent toujours autant, encadrés par nos épouses. M’arrachant à cette vision, je poursuis :
— Mais comme l’autre fois, tu ne sais pas qui, quand et où.
— Pas un petit indice ?
— Non. Je suis tenu au secret pour ce genre de détail, rappelle-toi. Pareil pour les choses que tu me confies, Marc.
Tel que je connais Marc, il serait capable de ...