Vrai ou faux 2 – Les débuts au parc public d’à côté
Datte: 24/11/2024,
Catégories:
mast,
fh,
jeunes,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
init,
dominatio,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... plus précisément. Je ne pensais pas verser dans ce genre de pratique.
— C’est toi qui parles ou c’est lui ?
— C’est un procédé narratif, Ducon ! J’utilise le « je » pour que ce soit plus immersif. Sinon, si ça te traumatise tant que ça, je repasse au « il ».
— Non, non ! Ça me va.
Marc est parfois pénible, il ne semble pas comprendre les choses subtiles comme le second degré. Que dire des mises en abîme ?
— Évite de me couper la parole pour un oui ou pour un non, Marc.
— OK, OK…
— Donc, disais-je, je n’avais pas prévu de mettre un doigt dans l’engrenage comme tu l’as si bien dit.
— Merci.
— Il me semble t’avoir dit d’éviter de me couper la parole…
— OK, OK…
Je reprends ma narration :
— Je venais d’avoir mon permis et l’avenir s’ouvrait devant moi. Je n’avais pas de copine attitrée à l’époque, j’avais surtout des petites aventures.
— Comme nous tous à la même époque.
— Non, non, la plupart de nos copains étaient déjà avec leur future femme. Rappelle-toi Michel, Luc, Daniel et j’en passe.
— Pas toi ?
— C’est pas de moi qu’on cause, mais du dominant de notre histoire. Continue comme ça, et je ne raconte plus rien !
— OK, OK…
Je lui jette un regard noir. S’il n’arrête pas de me couper pour un oui ou pour un non, je n’arriverais jamais à raconter mon histoire !
— À l’époque, la sœur d’un copain me courait après. C’était flatteur, mais ça me gênait, parce que justement elle était la petite sœur du copain.
Replongeons à cette époque…
Aujourd’hui, ...
... comme il fait beau, j’ai prévu de faire quelques croquis. De ce fait, je vais me balader dans un parc pas très loin de la maison. Alors que je viens de crayonner deux feuilles et que j’attaque la troisième, j’entends derrière moi :
— Salut, Léo !
Sans trop me presser, je me retourne :
— Ah, salut, Isabelle(je préfère changer le prénom) !
— En train de dessiner des arbres ?
— Eh oui, en train de dessiner des arbres… Eux au moins ne bougent pas trop quand je les dessine !
— Hihi ! Gros béta, va !
Vêtue d’une robe d’été à fleurs, elle s’assied dans l’herbe à côté de moi. Je termine mon croquis dans ses grandes lignes, en même temps, nous discutons d’un peu de tout. Comme déjà dit, Isabelle est la petite sœur de l’un de mes copains. Elle est mignonne, c’est certain. Même si je ne serais pas contre le fait de batifoler un peu avec elle, le fait qu’elle soit la sœurette me gêne un tantinet. On a les scrupules qu’on peut.
La situation est d’autant plus curieuse qu’elle me drague parfois ouvertement, mais souvent en mode un pas en avant, puis un pas en arrière. Ce qui ne fait pas précisément avancer les choses…
Là, maintenant, c’est plutôt deux pas en avant, voire trois :
— C’est parce que je suis la frangine que ça te bloque ?
— Il y a de ça, mais pas que…
— Ah bon, et quoi donc ?
Je viens de dire une parole de trop. Il va falloir que j’invente quelque chose pour la détourner de son objectif. Isabelle fait rarement les choses à moitié. Si je lui dis que ...