L’orage
Datte: 23/11/2024,
Catégories:
fh,
ff,
hh,
fhh,
ffh,
grp,
couple,
couplus,
vacances,
amour,
cérébral,
intermast,
facial,
Oral
69,
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
hdanus,
totalsexe,
Auteur: Rimaye, Source: Revebebe
... l’anus de Laura – je la devine à tâtons : elle se prolonge en une longue verge bien dure. Je tourne la tête : Mathilde et Cécile sont tendrement enlacées. Le gland appuie maintenant contre l’anus – il s’écarte sans effort, laissant entrer le visiteur qui semble être en terrain connu.
Je réalise ce qu’il est en train de lui faire, là, tout contre moi, ce qui n’a jamais été qu’un fantasme pour moi, que je n’ai jamais osé essayer, en dehors de quelques tentatives frileuses qui n’ont jamais eu l’air d’intéresser Cécile. Lui ose. Elle le laisse entrer, mieux, elle l’accueille. Elle n’a pas l’air de souffrir.
Alors, je le sens contre moi, là, juste séparé de mon sexe par une fine cloison de chair, cet autre sexe qui vient masser le mien sur toute sa longueur. Je sens son gland masser la base du mien, puis repartir. Je ne sais plus avec qui je fais l’amour : Laura ou Antoine ? Ou les deux ?
Thomas
Le feu est enfin parti. J’ai mis du temps à reprendre mes esprits. Manon est restée lovée contre moi de longues minutes, la tête sur mon épaule. Je sens qu’il se passe quelque chose de fort entre nous.
Maintenant, il faut faire sécher toutes nos affaires – il y a du boulot, tout est trempé jusqu’au fond des sacs. Mais avant tout, aller prendre une douche.
Nous nous serrons à deux dans la petite cabine. Manon est serrée contre moi, ses fesses s’appuient sur le bas-ventre lorsqu’elle se savonne les pieds. Je savonne longuement son dos, ses fesses, ses bras, puis ses ...
... seins, son ventre. Quel plaisir de sentir mes mains glisser librement sur ces douces collines. On s’embrasse, bien sûr, on n’arrête pas.
Sous la douche, Manon me raconte comment elle a fait l’amour avec Mathilde, hier. Je n’en crois pas mes oreilles. Je ne peux pas lui cacher les caresses échangées avec Julien. On se regarde avec perplexité. Comment peut-on faire des choses pareilles au moment où on est en train de tomber amoureux l’un de l’autre ?
Une fois séchés, on s’en va étendre nos affaires. Pourtant, dans le hall, rien ne bouge : nos vêtements trempés sont toujours entassés sur un banc au pied duquel s’est formée une petite flaque, les sacs et chaussures gisent pêle-mêle. Personne. Mais où sont-ils passés ? J’échange un regard perplexe avec Manon, en essayant de ne la regarder que dans les yeux pour ne pas être déconcentré.
Il n’y a pas beaucoup de solutions – il n’y a que deux autres portes dans le couloir. La première est fermée. J’ouvre la seconde, tout au bout, Manon sur mes talons. Ce qui me frappe d’abord, c’est une odeur moite de transpiration mêlée à quelque chose de plus capiteux – une odeur indéfinissable, mais familière. Puis les bruits. Des cris étouffés de plaisir d’une femme – je crois reconnaître Laura – les soupirs et les râles d’un homme(ou deux ?). Puis d’autres gémissements féminins. Et de petits bruits humides, « floc floc ».
Enfin, mes yeux s’habituent à la faible lumière que laissent passer l’orage et les volets mi-clos. Je m’attendais à ...