1. L’orage


    Datte: 23/11/2024, Catégories: fh, ff, hh, fhh, ffh, grp, couple, couplus, vacances, amour, cérébral, intermast, facial, Oral 69, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, hdanus, totalsexe, Auteur: Rimaye, Source: Revebebe

    Résumé de l’épisode précédent :
    
    Nouvelle baignade sans maillot. Julien et Thomas se sont isolés et partagent leurs premières caresses. Pendant ce temps, Laura propose à Cécile un échange.
    
    Thomas
    
    Un coup de tonnerre me tire de ma rêverie. J’atterris subitement. Vite, il faut partir d’ici. Cette gorge peut se transformer en véritable piège en cas d’orage.
    
    Nous sautons à l’eau. Julien retourne vers la plage prévenir Cécile, Laura et Antoine. Je nage vers la cascade où se trouvent Manon et Mathilde. Je les trouve en train de discuter, étrangement proches l’une de l’autre. Elles me suivent.
    
    Nous remballons nos sacs, prenant à peine le temps de nous sécher. Pour sortir de la gorge, il faut encore escalader le petit ressaut rocheux. Je reste en bas pour aider ceux qui auraient des difficultés. Manon passe la première. J’en profite pour jeter un coup d’œil sous sa jupe : elle ne porte rien en dessous. J’adore. Même constat chez Mathilde, qui la suit. J’échange un clin d’œil complice avec Antoine qui vient juste en dessous, et qui doit bien en profiter. Pour Cécile, je ne sais pas : elle porte un short, et je n’arrive pas à voir ce qu’il renferme. Enfin, Laura ferme la marche derrière Julien, son short est un peu moins moulant que celui de Cécile, et j’aperçois fugitivement son pubis épilé et un pli de chair rose.
    
    Mais je n’ai pas le temps d’en profiter. Il faut encore remonter la sente escarpée. Je mène le groupe au pas de course. Les coups de tonnerre se ...
    ... rapprochent et résonnent dans la gorge. Les premières gouttes nous saisissent à l’arrivée sur le chemin. Des gouttes grosses comme des billes qui explosent en s’écrasant sur nous.
    
    En dix secondes, nous sommes trempés jusqu’aux os. L’orage se déchaîne, et nous n’avons nulle part où nous abriter. Rien ne sert d’attendre ici. Il nous reste un peu plus d’une heure de marche jusqu’au refuge, en marchant bien. J’explique la situation : tout le monde acquiesce. C’est vraiment un groupe parfait, en général il y a toujours quelqu’un pour protester, pour paniquer. Entre nous, rien de tout ça : ils me font confiance.
    
    Nous passons une heure terrible à affronter des trombes d’eau et des bourrasques qui s’engouffrent dans la vallée, nous fouettant le visage, nous forçant à fermer les yeux. Nous traversons le torrent où nous nous baignions il y a quelques minutes : c’est un flot d’eau boueuse et tumultueuse qui effleure le petit pont de bois que nous traversons au pas de course.
    
    Pendant cette course effrénée, il n’y a pas eu la moindre plainte. Nous avons marché groupés, soudés comme un commando. Nous atteignons le refuge, au bout d’un hameau désert, en moins d’une heure, haletants et trempés de la tête aux pieds.
    
    Manon
    
    Je n’ai jamais vécu un tel orage. On aurait cru plonger dans la mer à chaque pas. Le moindre ruisseau était transformé en torrent, les branches des arbres se cassaient autour de nous, le tonnerre grondait sans discontinuer. C’était très effrayant, et en même temps, ...
«1234...14»