L’orage
Datte: 23/11/2024,
Catégories:
fh,
ff,
hh,
fhh,
ffh,
grp,
couple,
couplus,
vacances,
amour,
cérébral,
intermast,
facial,
Oral
69,
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
hdanus,
totalsexe,
Auteur: Rimaye, Source: Revebebe
... visiblement !) pas insensibles. D’accord, depuis que j’ai eu la révélation de ce que pouvait être le sexe avec une fille, je n’attends que ça. Mais après tout, ces deux belles queues me semblent tout à fait attirantes. Dire que je n’ai jusqu’ici fait qu’accumuler les déconvenues avec les mecs, voici une occasion de tenter une chose que je n’aurais jamais imaginée. Fantasmée, oui. Mais je ne m’en serais jamais crue capable.
En suis-je vraiment capable, d’ailleurs ? Allez, Mathilde, montre ce que tu sais faire ! Ne pas trembler. Ils sont là, juste à côté de moi. Je n’ai qu’à tendre les mains. Là ! Oh que c’est dur ! J’avais oublié. Et chaud, palpitant. Ils me regardent tous les deux, surpris, mais apparemment ravis – aucun mouvement de recul, au contraire. Je fais un pas, ils me suivent – ils n’ont pas le choix. Je m’assois sur le bord de la banquette, à une longueur de bras des amantes enlacées, je les attire à moi.
C’est le moment de sortir le grand jeu. Mon expérience en matière de fellation est embryonnaire – la plus aboutie est celle que j’ai prodiguée à Antoine avec l’aide de Manon, hier soir. Mais je veux être à la hauteur. Pour l’instant, les caresser. Les observer, aussi, ces deux sexes. Celui de Julien est épais, marbré de grosses veines saillantes, un gros gland violacé tout gonflé, luisant et nu – on dirait un fruit bien mûr. Celui d’Antoine est un peu plus long, et son gland est presque entièrement caché par cette petite peau – si je tire dessus, il en sort ...
... fièrement, plus rouge que celui de Julien, moins gonflé aussi. J’amorce quelques va-et-vient. Ça a l’air de leur plaire. Je me sens le centre du monde – de notre monde. C’est moi qui dirige les opérations, ils me suivront où j’irai, je le sens.
Maintenant, j’ai envie de goûter. Par lequel commencer ? Par Antoine, tiens, il est un peu plus près. Un coup de langue – je le sens frémir de contentement. Je le lèche, d’abord timidement, puis avec plus de conviction, du bas vers le haut. Je sens qu’il aime ça, je m’enhardis. J’enroule ma langue autour de son gland. Ça a un goût légèrement salé, pas désagréable, super excitant. Je pose mes lèvres dessus – une petite goutte perle au bout, je l’aspire – Hmm, pas mal !
C’est le moment, Mathilde ! J’écarte mes lèvres, il s’enfonce, fais attention, là, il me remplit bien. Et pourtant je sens qu’il en reste encore. Je ne vais pas y arriver. Bouger. Je le fais coulisser entre mes lèvres – j’accompagne mon mouvement de ma main, j’essaie de le masser en même temps avec ma langue, mais sa liberté de mouvement est limitée. Il grogne – il a l’air d’apprécier.
Au tour de Julien, maintenant. Je reprends mon souffle. Antoine me sourit, me caresse la joue, le cou. Ça me donne confiance en moi. Elle est plus épaisse, celle-là. J’essaie de reproduire les mêmes caresses qu’avec Antoine. Tiens, le goût n’est pas exactement le même – plus musqué peut-être ? C’est terrible cette sensation d’être remplie. J’ai l’impression de m’y habituer. Et puis ...