1. Les petites stagiaires: Leslie IV,3


    Datte: 23/11/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Exorium, Source: Hds

    ... allez-y !
    
    – On te l’a fait souvent ?
    
    – En vrai, vous êtes le premier.
    
    – Non !
    
    – Ben, si ! Parce que toute seule, alors là, à des éternités ça remonte. En m’imaginant que c’était quelqu’un d’autre qui me la donnait. Un prof souvent. J’aurais jamais eu mes examens sinon… Si je m’étais pas obligée de cette façon-là. Parce que vous savez quoi ? J’ai horreur de ça la fessée en réalité.
    
    – J’ai du mal à y croire.
    
    – Si, c’est vrai, hein ! Ce que j’aime en fait, c’est l’idée que je la reçois. Et la honte de la recevoir. C’est insupportable une fessée. Je donnerais n’importe quoi pour y échapper, mais, en même temps, je donnerais tout ce que j’ai pour en avoir. Je suis quand même une drôle de fille, hein, finalement !
    
    Zonlier était parti. La salle était méconnaissable. Ballons multicolores, guirlandes, banderoles. Il avait installé un buffet gigantesque qui n’attendait que boissons et victuailles.
    
    Je l’ai attirée à moi. Par les poignets.
    
    ‒ Elle va être punie pour quoi, la petite Leslie ?
    
    – Ben, pour… Comme l’autre fois. Pour le boulot.
    
    – Mais pas seulement. Pour quoi encore ?
    
    – Je vois pas.
    
    – Parce qu’elle aime aimer la fessée. Ça mérite bien aussi, non ?
    
    – Oui.
    
    – Et puis il y a encore une autre raison. La plus importante. Une raison secrète qu’elle est la seule à connaître. Qu’il ne faut surtout pas qu’elle révèle. À qui que ce soit.
    
    – Comment vous savez ?
    
    – Donne-moi ta culotte, Leslie.
    
    Elle a marqué un bref temps d’hésitation et ...
    ... puis elle s’est exécutée, les deux mains passées sous la robe, en prenant bien soin de ne pas la faire remonter trop haut. Elle l’a fait glisser en se tortillant, en est sortie, une jambe après l’autre, s’est baissée, l’a ramassée, me l’a tendue. Une petite culotte couleur parme festonnée. Que j’ai enfouie dans ma poche.
    
    J’ai tiré une chaise, y ai posé un pied, l’ai fait s’incliner sur mon genou. J’ai relevé la robe que j’ai maintenue d’une main et j’ai lancé l’autre, à toute volée, sur son postérieur à découvert. En grêle. À pleines fesses. Généreusement.
    
    – Plus fort !
    
    – Pardon ?
    
    – Encore plus fort !
    
    Dans ces conditions ! Et j’ai lâché les chevaux. De bon cœur. C’est tombé. Ça s’est abattu. Ça s’est inscrit en rouge profond sur sa jolie croupe. Agrippée des deux mains au rebord de la chaise, elle criait et battait des jambes, m’offrant une vue imprenable sur ses crénelures intimes. Je n’en ai été que plus déterminé à poursuivre imperturbablement ma tâche. Il a pourtant bien fallu finir par mettre un terme. À regret.
    
    – Là ! Et que ça te serve de leçon !
    
    On n’a pas bougé. Ni l’un ni l’autre. Je l’ai doucement massée. Sur toute la surface. Par petites touches successives. Elle s’est abandonnée, détendue.
    
    – Ça fait du bien, hein ?
    
    Elle n’a pas répondu. Ses reins se sont creusés. Je suis descendu. Plus bas. Encore plus bas. Elle s’est cabrée. Ma queue s’est dressée. Elle a appuyé sa hanche contre elle, a laissé échapper un gémissement. Encore plus bas. ...