Anne-Laure à la fac - 1
Datte: 21/11/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Lord of Sitges, Source: Hds
... ensuite avec des filles expérimentées, valent le coup de ne pas aller jusqu’au bout de ses pulsions. Elle apprenait à branler une queue et j’étais le gros cochon qui la pervertissait. Je voyais déjà sa mère outrée : « mais comment osez-vous laisser ma petite fille vous… enfin, vous, … vous tripoter, avec ses petites mains innocentes ? Ah non ! Pas sa bouche !!!! »Et siiii !! Et je n’avais pas eu à la forcer. La petite savait instinctivement le rôle que sa bouche pouvait avoir sur le sexe opposé, et en plus elle voulait apprendre. Comme toutes les ingénues, elle activait sa langue de petite chatte sur une coupe de lait, mais quitte à jouer le professeur de vice, je lui indiquais qu’une bite s’avalait et se suçait. En profitant de la situation, je lui faisais même me sucer les couilles pour ne pas avoir à revenir sur le sujet et mon élève n’y voyait pas mal. J’avais déjà pris l’habitude de me raser les testicules à cette époque, et l’apprentie-cochonne me les gobait avec application.
Petit à petit, à force de conseils et d’efforts de sa part, l’idée même de la pénétrer m’est sortie de la tête et je sentais le plaisir monter. Quitte à ne pas pouvoir vraiment la baiser, elle allait me sucer jusqu’au bout.
Au moment ultime je la prévenais, mais juste assez tard pour qu’elle ne prenne pas la peine de se retirer. Oups … C’est la bouche ...
... pleine de mon foutre que je retrouvais la jolie frimousse de la gamine. Elle semblait à la fois fière d’avoir été femme et gênée par cette semence étrangère qu’elle ne concevait pas de garder en elle.
J’ai bien tenté de l’embrasser pour la forcer à aller à l’étape d’après mais elle n’était pas mure et le cours était apparemment fini. Elle s’est précipité comme tant d’autres dans les sanitaires, et a craché. J’ai entendu l’eau couler, presque vexé et elle est revenue au lit toute heureuse.
« Alors, Je t’ai bien sucé ? » me demanda-t-elle. « Une vraie petite pute » lui répondis-je sans réfléchir à l’impact du mot sur une ingénue et au risque de la vexer. Il n’en fut rien heureusement. Au contraire, un ajout de rougeur sur ses joues m’a même laissé penser qu’elle était heureuse de mon appréciation.
Déjà je pensais que mes objectifs étaient atteints, et dès demain j’aurais largué cette pucelle et je me moquais de sa petite satisfaction puérile. Je devais me relancer sur le marché et en trouver maintenant une autre que j’embrocherais vraiment.
Pourtant, en m’endormant, je repensais à ses petits yeux coquins et son bonheur de réussir à faire jouir un garçon, et ce plaisir était contagieux. J’avais eu moi aussi la satisfaction de pervertir une enfant. Tout au moins c’est le souvenir que je gardais de cette première soirée avec Anne-Laure.