Mutinerie au Congo, Chapitre 03
Datte: 18/11/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byHBuff, Source: Literotica
... grivois ; elle était vierge à l'aube.
Pour Lucie, sa mère et les trois autres filles, le seul univers tangible est une interminable série de bites du Congo, bien brunes et juteuses.
La mère et les filles belges ne sentent plus autre chose que l'âcre odeur du sperme tropical qu'elles reçoivent sans cesse, jusqu'au soir tombé, et là encore le calvaire continue.
À présent que tout est foutu, que les barrières, la loi et l'ordre des Blancs sont tombés, les mutins tiennent les filles auxquelles ils rêvaient en secret. Maintenant qu'ils les possèdent, ils vont prolonger la fête.
L'homme au kodak a pris tout plein de photos, de Lucie et de sa mère surtout, et aussi de Pauline et de Véronique. Sur la dernière photo, Véronique est en train de jouir malgré elle en entourant le nègre de ses jambes, qu'elle a belles et douces, et elle croise les chevilles au-dessus de lui ; ses petits pieds de fille blanche sont magnifiques à voir!
L'homme au kodak dépose vite son appareil près du lit, et dès que son pote a balancé son sperme, il prend sa place et viole Véronique en lui suçant les seins, des seins merveilleux, et le goût de ses mamelons foncés l'est plus encore ; on dirait qu'il est en train de violer une belle Italienne. Il intensifie son rythme tandis que le beau visage de la "fille mystère" aux cheveux sombres danse sous lui...
Et le nègre finit par être pris d'une puissante éruption qui n'a d'autre choix que de se déverser massivement dans le vagin étroit de la ...
... Belge violée et violée encore, derechef et encore. La "fille mystère" n'a plus de secrets pour la troupe congolaise. Elle les abhorre et rêve de tous les tuer ; mais elle jouit encore sous leurs coups de bélier et son corps semble aimer la bite congolaise. Véronique pleure.
Ahhh... Que c'est bon de violer les filles des officiers blancs! Elles font d'excellentes suceuses de bites. Le caporal satisfait court au bâtiment administratif avec son précieux kodak volé.
Pendant que quelques jeunes employées de l'administration, leurs vêtements ou uniformes en lambeaux, continuent de se faire violer à répétition sur leurs bureaux, sur un lit de feuilles froissées parmi l'ouragan d'un saccage en règle, ou encore sur une table dans la cafétéria, le caporal file au laboratoire de photographie.
Il s'y connaît un peu en photo. Il prend son pied quand les images apparaissent progressivement dans le bac d'eau froide. Les photos noir et blanc sont parfaitement claires. Il a hâte de les montrer à Monsieur De Vos.
Dans le quartier blanc, c'est maintenant le soir. Les mutins, rois et maîtres des lieux, sont surtout dehors à chanter en lingala tandis que certains jouent du tam-tam congolais.
Au rythme des hauts tam-tams dansent les filles blanches, ou plutôt on les oblige à danser et on les aide un peu en les caressant beaucoup, car elles sont toutes nues, ces filles, et elles attirent les mains, les bouches et la chaleur des nègres.
On les fait danser autour d'un feu. Au son des ...