Si tu vas à rio -- Ch. 03
Datte: 18/11/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... me provoque une douleur phénoménale que je contrôle en respirant fort, et qui s'apaise progressivement. La lubrification vient progressivement et son gland rentre profondément dans mes entrailles avec tout son sexe, je suis défoncé comme jamais je ne l'ai été et je sens comme c'est si bon. J'ai envie de jouir, je fantasme d'une bouche sur mon sexe, mais hélas il n'y a rien et j'ai compris que je ne devais pas penser à mon plaisir.
Un homme passe près de la voiture, je me sens honteux, mais Pierre n'est pas gêné, il lui propose de goûter à mon cul de petite pute, l'autre sourit, mais continue son chemin, à mon grand soulagement. Juste quand il va jouir, Pierre m'ordonne de me retourner, et je l'embouche pour le terminer et avaler sa précieuse semence. Mu par un réflexe incontrôlé, je me penche sur ses chaussures et les lui embrasse avec ferveur. Il me relève, me dit qu'il n'est pas mon Maître et que je trouverai bien assez vite. Il enlève la valise du coffre pour la mettre sur la banquette arrière, s'amuse de me voir ainsi bander, prend deux attaches rapides en plastique pour me ligoter les mains dans le dos, et les chevilles ensemble, mon slip dans la bouche avec un large sparadrap pour compléter le tableau et me fourre au sens propre dans le coffre de sa voiture, sans un mot. Le coffre est refermé, je suis dans le noir, cela sent bizarre, je ne m'attendais pas à cela, si vite. J'espère ne pas vomir dans mon slip qui me remplit toute la bouche! De façon surprenante je me ...
... sens bien, une boule au ventre certes, mais je suis heureux d'avoir changé d'avis, au pire je passe un mois d'enfer mais cela me fera des souvenirs!
Je me suis endormi lorsque le coffre est ouvert et que je suis ébloui par le soleil brûlant. Je me redresse avec difficulté et sors du coffre, les graviers blessant mes pieds. Nous sommes face à une grande ferme comme il y en a des milliers, et rentrons dans le bâtiment principal, désert. Pierre me demande de me mettre à genoux et d'attendre, c'est douloureux sur le carrelage mais je ne dis rien. Il rentre dans ce qui semble être un salon, j'entends des voix. Je regarde la décoration plutôt spartiate même si cela sent le luxe dans les tentures, la qualité de la peinture et les quelques meubles d'ébène. Le temps passe, la douleur dans les genoux devient infernale mais je n'ose pas bouger, je suis certain que dès que je vais bouger cela sera le moment où Pierre reviendra.
Difficile de savoir combien de temps je reste là, je suis certain qu'au moins une heure s'est passée, j'ai vu l'ombre du soleil nettement progresser. C'est alors que j'entends la voix puissante de Pierre m'appeler par le nom affectif qu'il me donne, petite pute, et me demander de rentrer en restant à 4 pattes. La mise en mouvement est douloureuse et je fais pauvre figure à marcher ainsi les genoux douloureux. La pièce où m'attend Pierre est grande. Il est attablé avec une femme d'un certain âge, sans doute la cinquantaine, qui me regarde très fixement, je ...