1. Si tu vas à rio -- Ch. 03


    Datte: 18/11/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... desserre doucement les 4 vis, j'ai tellement mal, cette fois-ci je ne bande plus. Mes couilles sont toutes violettes, gonflées, méconnaissables. Je pleure d'émotion tandis que Pierre me prend dans ses bras. Il m'explique qu'il est très fier de moi et que j'ai vraiment un gros potentiel.
    
    Il a décidé de m'envoyer un mois dans une hacienda à quelques centaines de kilomètres pour que je suive là-bas une formation par une amie à lui. Je lève la tête surpris, lui disant que j'ai mon avion dans 10 jours. Mais comme mes cours ne reprennent pas avant deux mois, cela n'a pas d'importance, il me prendra un autre billet. Il pourrait me prendre même un billet en première classe mais une petite pute comme moi ne voyage pas en première classe me dit-il pour m'humilier. Et oui je suis très humilié d'être traité ainsi. Après m'être rincé de partout, nous rentrons en silence à son penthouse. Arrivé je lui dis que je ne suis pas d'accord. Que cela va trop loin. Je veux juste prendre du plaisir et découvrir plein de choses mais là c'est bien trop et ce n'est pas du tout ma vie. Pierre me regarde longuement. Il prend son temps. Je pensais qu'il serait furieux mais j'avais besoin de lui dire que j'arrêtais, c'est bien trop perturbant, je ne sais pas si c'est moi vraiment ou si c'est juste que je le fais comme je ferais n'importe quoi. Et je perds complètement le contrôle.
    
    Pierre m'explique qu'au contraire, c'est ma vraie vie qu'il me permet de découvrir. Comme pour le rôle de la petite pute ...
    ... des vestiaires, je pensais que cela ne me plairait pas et cela m'a tellement éclaté que j'ai jouis au deuxième visiteur! Il savait juger les hommes et il savait que je n'en étais pas un. Même avec Sophie c'est elle qui avait le phallus, moi j'étais la femelle du couple. Ma vie est insignifiante, et lui me promet une vie incroyable avec des gens incroyables. Je n'ai vraiment rien à perdre. Je reste obtus, je veux rentrer, j'ai eu trop mal aujourd'hui entre les coups de canne et mes couilles. Il sourit et me dit que j'aime la douleur, quand la métisse me mord les tétons je bande. Quand on écrase mes couilles, même de façon extrême, je bande. Et surtout que je ne me plains pas de m'être fait sodomiser à la chaine par une dizaine d'hommes.
    
    Il me laisse réfléchir toute la nuit et demain matin je lui donne ma réponse. Comme il est fâché il me jette un oreiller par terre et me dit de dormir sur le tapis. Je me retrouve nu avec juste un oreiller, le corps et l'esprit meurtri, bien décidé à tout arrêter dès le lendemain. Je ne me reconnais pas, je n'ai pas le temps de souffler et je ne sais même pas si cela me plaît. Ce n'est pas parce que je bande que j'aime. Ce n'est pas parce que cela m'excite et que je jouis que cela me plaît. Ou bien si? Je m'endors épuisé malgré la précarité de ma couche.
    
    Je me réveille d'un bon le jour est levé, j'ai dormi d'une traite mais je me sens aussi épuisé que la veille et le corps perclus de douleurs. Pierre est déjà levé et c'est l'odeur du café ...
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