Si tu vas à rio -- Ch. 03
Datte: 18/11/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... saisir mes couilles à leur base. Je sens un dispositif qui est fixé à leur base et qui tire bien mes petites noisettes en arrière, en les serrant très fort. Un hammer je pense, puisque je ressens les vis qui se ferment. C'est peut être ma punition. C'est douloureux mais excitant aussi de sentir mes couilles compressées. Mais l'outil a été modifié avec une plaque qui vient dessus et qui en se vissant, écrase les couilles progressivement. Les 4 vis sont tournées l'une après l'autre, et je sens l'étau de plus en plus fort. Bizarrement je ne bouge pas. Lorsque la pression devient trop forte je me mets à haleter, avant que je ne perde toute notion tant je suis pris par la douleur.
C'est à cet instant que je vois Pierre se présenter devant moi, j'ouvre automatiquement la bouche pour le sucer. Il m'explique qu'il est évidemment interdit de prendre du plaisir à cette place, une petite pute ne jouit pas. La punition est un écrasement de mes couilles, sachant que chaque homme qui m'enculera aura le droit de faire un tour de vis. Je tremble d'effroi lorsqu'il ajoute qu'il ne sait pas bien dans quel état seront mes couilles à l'arrivée, aucune n'a jamais éclaté mais comme je suis une proie rare qui change des brésiliens, il n'est pas sur que cela n'arrive pas avec moi. Il ajoute, comme s'il y pensait, que bien évidemment il n'y avait pas besoin de savoir si j'y avais pris du plaisir, et que donc il attendait de ma part une parfaite obéissance à tous ses désirs d'ici la fin de mon ...
... séjour au Brésil. Il avait évidemment raison, mais comment aurais-je pu deviner que je pourrais jouir de mes couilles maltraitées. Même là, écrasées au bord de l'évanouissement, je sentais mon pieu dur comme de la pierre. J'étais maudit.
Déjà un autre homme me prenait et rien que par la sodomie, la douleur dans mes couilles était ravivée. Heureusement chaque homme n'avait le droit de serrer d'un tour qu'une des 4 vis car j'en ai un grand nombre qui m'utilisèrent le cul ou la bouche. J'avais le ventre déjà rempli de sperme, et la coupelle à côté de moi débordait quand Pierre vint me dire que mon tour était fini. La nuit était tombée depuis longtemps et je réalisais alors que le vestiaire était très calme. Il me caresse les cheveux et me dit qu'il était très fier de moi. L n'y avait plus qu'à vider la coupelle. Pour cela je devais vider tous les préservatifs dans ladite coupelle et tout boire. Même si je n'étais plus à cela près, le faire ainsi à froid était vraiment difficile, humiliant et révoltant. Je lançais un regard implorant et Pierre me demanda de ne pas tout gâcher. Une fois encore la culpabilité, aussi j'obéis.
Le mélange était bizarre on aurait dit, en fait je ne sais pas quoi. Je pris ma respiration, ce n'était qu'un petit moment à passer puis je serais libéré de ce carcan de couilles épouvantable. Sauf qu'il y en avait beaucoup et qu'il me faut plusieurs gorgées, j'ai très soif mais j'attends d'être libre pour demander à boire. Un homme que je ne vois pas ...