« Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale » (25) : Les Aphr
Datte: 17/11/2024,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Olga T, Source: Hds
... jeune patricienne étant à portée.
Néron se laisse faire, comblé, heureux du plaisir inconnu qu’il sent monter en lui. Il ferme les yeux, obnubilé par la pensée de sa redoutable mère. Celle-ci, dans sa cachette, est excitée et fière de son fils, car elle sait que Tullia ne fait pas semblant, mais elle veut qu’il reprenne le contrôle de la situation. C’est lui, Néron, qui doit baiser Tullia et pas l’inverse !
Au même instant, Othon a la même réaction ! Il intervient :
• Néron, tu es le mâle, le fututor ! C’est toi qui dois la baiser, et pas l’inverse. Toi, mets-toi à quatre pattes et tend ta croupe ! Tu vas la saillir comme un étalon le fait avec une jument !
Tullia obéit, même si elle devine le résultat. Néron la prend en levrette et entreprend un coït forcené qui, en effet, fait monter la jeune femme vers un nouvel orgasme :
• Oui, seigneur, c’est bien, vas-y, continue comme ça ! Tu me remplis bien, comme le futur maître de Rome.
Seulement le futur Princeps ne résiste pas longtemps à son excitation, avant d’éjaculer dans la chatte de Tullia. Celle-ci a le réflexe, pour ne pas vexer le futur empereur d’en rajouter sur son propre plaisir. Vaniteux, Néron prend ça pour argent comptant. Il est très fier de sa performance.
Tullia tente de jouer la chatte comblée et veut se lover dans les bras de Néron, en lui disant que ça avait été grandiose et qu’elle ne rêvait que de recommencer.
Contrairement à Agrippine, qui mate de plus loin, l’expérimenté Othon, ...
... lui, n’est pas dupe ;
• Si tu permets, Néron, cette chienne en chaleur en veut encore et, comme il ne faut pas t’épuiser, je vais m’en occuper !
• Vas-y mon ami, je te l’offre. J’ai très envie que tu la baises devant moi.
Tullia, frustrée par son étreinte avec Néron, n’attend que ça. Elle se remet à quatre pattes et attend la saillie d’un vrai mâle. Avec Othon, elle ne sera pas déçue. Il est performant et endurant, déclenchant chez elle une série d’orgasmes. Il lui murmure à l’oreille :
• Salope, je savais bien que le gamin ne t’avait pas faite jouir. C’est ça qu’il te faut !
• Oui, vas-y, c’est trop bon !
Néron, qui n’a pas entendu les propos de son favori, apprécie le spectacle. Comme son oncle Caligula, Il aime voir de jolies patriciennes se livrer à la débauche en sa présence, dans des banquets ou plutôt des orgies dignes de Messaline.
Tullia, qui apprécie les coups de boutoir d’Othon, a la surprise d’entendre Néron, pour accompagner le spectacle érotique dont il est le témoin, déclamer, ou plutôt chanter un poème, en s’accompagnant d’une lyre :
« Ô joueuse de lyre,Je veux tout comme toiNe promener mes doigtsQue sur ton divin corps :En haut caresser fort,Au milieu, donner du plaisir. »
Tullia a reconnu une épigramme de Nicarque de Samos, un poète grec contemporain. Et quand Tullia émerge de son orgasme, Néron vient lui déposer un baiser sur les lèvres. Tullia comprend la vraie nature, la vocation du jeune homme, à savoir le chant, la musique, la ...