1. Professeures Bizutées - 8/8


    Datte: 16/11/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica

    ... clés pour 11h puis prendre la route pour rentrer chez elle.
    
    Lorsque le représentant de l'agence immobilière se fit ouvrir la porte de l'appartement pour faire l'état des lieux, il se trouva devant une jolie rousse, couverte d'un soutien-gorge blanc et seulement d'un soutien-gorge blanc. La jeune femme avait une main pour cacher son sexe car elle n'avait pas de culotte. Tel avait été le premier ordre de Thomas : "Tu rendras les clés avec seulement un soutien-gorge." Elle invita l'homme à entrer et contrôler l'appartement. Elle le laissa faire sans jamais lui tourner le dos ; il prit son temps en essayant sans cesse de voir ses fesses.
    
    C'est lui qui ferma la porte en la laissant dans le hall, sa valise à la main et toujours dans sa petite tenue.
    
    - Vous êtes naturiste, osa-t-il demander?
    
    - Eh, non. J'ai des ordres.
    
    C'est seulement alors qu'il put admirer le cul de la fille qui s'engageait dans les escaliers en le laissant ébahi.
    
    Il était déjà midi quand, au volant de sa mini, elle longea la voie ferrée à sa gauche tandis qu'à sa droite défilaient les dunes et plus loin la plage. Tous les jours des vacances, elle avait prit cette route pour retrouver son amant mais ce jour là, il ne l'attendait pas. Le soleil chauffait déjà bien fort à l'extérieur pourtant elle avait froid. "Mets ta clim au plus froid, ça fera darder tes tétons", avait-il ordonné.
    
    Elle se gara au petit parking habituel. Retiré de la route d'une vingtaine de mètres, joliment entouré ...
    ... d'arbres, il offrait quatre ou cinq place à l'ombre. A cette heure, deux étaient prises. Comme elle ne vit aucun signe de vie autour, elle sortit de sa mini avec ses clés, son téléphone et son seul foulard en guise de vêtements. C'est ce qu'il avait ordonné.
    
    * Tu rendras à ta dune habituelle, celle où tu baisais avec ton jeunot.
    
    Elle marcha quelques minutes en zigzagant entre les dunes et les buissons, se blessa la plante d'un pied car elle n'avaient pas de chaussures. Arrivée au recoin amoureux de ses vacances, un petit vallon entre deux monticules sableux, elle posa son appareil téléphonique sur un bois mort et enclencha la caméra. Elle avança de quelques pas, se couvrit les yeux avec le foulard et se mit à quatre pattes en présentant son fin et long profil à l'appareil. Elle écarta les genoux et attendit.
    
    * Tu te présenteras comme une chienne, pendant une heure exactement. Je me fous qu'il t'arrive quelque chose ou rien, je veux que tu obéisses. Je vérifierai avec le film de ton téléphone."
    
    Elle attendit. Le soleil brulait son dos et ses fesses nues. Elle perdit rapidement la notion du temps, sauf qu'il paraissait terriblement long. Faute de pouvoir lire l'heure, elle avait programmé l'alarme son téléphone à 60 minutes. En raison de ses yeux masqués, son ouïe était aiguisée. Elle entendait le vent, le roulement de fond de la mer, le bruissement des feuilles. Tous les bruits prenaient des proportions comme ceux de la nuit en foret.
    
    Elle sentit quelque chose de frais ...
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