Thérée et Érato
Datte: 14/11/2024,
Catégories:
fh,
fffh,
frousses,
rousseurs,
inconnu,
Collègues / Travail
fépilée,
coiffure,
voiture,
douche,
noculotte,
Oral
69,
préservati,
fist,
pénétratio,
Humour
internet,
Auteur: Radagast, Source: Revebebe
... tout moi ce genre de bêtises.
— Ce n’est pas grave, laissez.
— Non, vous allez prendre froid, je vais vous sécher.
Prendre froid… dehors il fait un bon 35°, et sa température interne doit approcher les 60°. Malgré ses dénégations, Suzy lui baisse son pantalon, le robinet à délices lui bondit au visage.
— Ben dites donc, Gontran, vous me semblez bien énervé, faut pas vous mettre dans ces états.
Sa main enserre le délicat appendice et opère des va-et-vient le long de la hampe. Elle dépose de légers baisers sur le museau de la bête, puis en gobe l’extrémité, tout en ne cessant de faire des commentaires.
— Vous savez, Gontran, je suis masseuse bien-être…slurp… je sais ce qu’il vous faut…slurp… il faut vous laisser aller de temps en temps…slurp… vous détendre…slurp.
Il ne peut pas repousser sa patronne et partir en courant, il a son pantalon sur les chevilles. Il ne peut pas lui attraper la nuque et s’enfoncer dans sa bouche comme un rustre, il lui reste un zeste de galanterie malgré le brouillard qui lui envahit l’esprit. Il ne peut que marmonner des :
— Mademoiselle, je ne sais pas si c’est bien, vous ne devriez pas…
Soudain, elle se relève et le regarde dans les yeux.
— Gontran, connaissez-vous la différence qu’il y a entre un pénis et un fil à coudre ?
— Euh, non, répond-il, surpris.
— Il n’y en a pas, il faut en lécher le bout pour que ça rentre mieux dans le trou !
Elle le repousse et le fait asseoir sur le bidet, lui enfile un préservatif, ...
... s’assied sur ses genoux, se saisit du mât de cocagne et le dirige vers son omelette baveuse.
— Làààà, ça faisait longtemps, et ça fait un bien fou !
Il ne peut le nier, ça fait du bien. Six mois qu’il n’a pas pratiqué. La dernière fois, c’était justement avec Joséphine/Érato.
La fière étrave perfore Suzy de la cale à la dunette arrière. Les yeux fermés, elle savoure cet instant béni où un homme l’investit. La quille plantée au plus profond de son être, elle tortille du fion, ondule du croupion, s’alèse le pertuis sur ce morceau de choix.
Gontran un instant perturbé par le fait que sa patronne le chevauche retrouve vite ses esprits et son instinct. La saisissant par les hanches, il l’aide à coulisser sur son pieu. Elle pousse de petits soupirs d’extase à chaque descente, ses petits seins en tressautent de joie. Gontran place les mains sous les fesses de Suzy et la soulève comme une plume. Elle l’aide à la manœuvre en le tenant par les épaules. Les seins passent et repassent devant son visage, il gobe un téton à droite, lèche le gauche et enfouit le nez entre les masses douces et souples.
Elle ouvre les yeux, guettant sur le visage de son employé le début des festivités. Elles ne tardent guère, dilatation des pupilles, crispation des mâchoires.
Elle émet un feulement de panthère et plante ses ongles dans les larges épaules, se serre contre lui en appelant sa maman – ben oui, à sa grande confusion, elle crie toujoursmaman lors du bouquet final.
Gontran tient ...