Marc
Datte: 12/11/2024,
Catégories:
hplusag,
Collègues / Travail
extraconj,
diffage,
hf,
Auteur: Carla.moore, Source: Revebebe
... picotements dans mon entrejambe montrent mon désir dans cette situation inédite.
— Tu veux que je te baise : tu es toute mouillée ! Demande-moi !
Le ton, le phrasé est différent de celui de la conf. Il a quelque chose de… sadique. Quelque chose qui m’excite. Je suis complètement folle !
— Baise-moi.
Sans plus tarder, il me pénètre sans ménagement. Je constate que j’aime ça. J’aime cette force, cette fougue. J’ai un orgasme fulgurant. Il jouit en moi. Je réalise qu’il avait enfilé un préservatif. Je n’y avais même pas pensé. Je suis fière d’avoir contenté un tel homme. Il me donne une petite tape sur ma croupe comme on le fait à un cheval et sort de mon ventre.
— Je savais que tu étais une bonne pouliche. Retourne dans ta chambre te laver. On se retrouve ce soir. 21 h, ici. Et pas de sous-vêtements d’ici là !
Je suis sortie sans un mot, obéissante, je n’aurais jamais cru aimer ça. C’est ma première expérience de soumission. J’en veux encore.
Je suis nue sous la robe depuis le début de l’après-midi. J’ai eu l’impression que tout le monde s’en apercevait. J’en suis, en même temps, honteuse et excitée. Je me sens exhibitionniste et je l’assume mal. Max ne m’a toujours pas donné signe de vie.
Tout l’après-midi, j’ai pensé à ce qui s’est passé, à mon comportement. Je ne me reconnais pas : ce Serge m’aimante. Il me donne un plaisir que je n’ai jamais ressenti. En même temps, une part d’ombre en lui me dérange. Je l’ai croisé plusieurs fois dans ...
... l’après-midi, il m’a ignorée. Il mange à une autre table ce soir. Je suis quoi pour lui ? Je me pose trop de questions. C’est ce que tu voulais, non ? Une parenthèse dans ma vie trop symétrique… ma vie… Jérôme boude. Marc est prévenant. Il me fait la conversation. Il est aimable, drôle. Il me propose de me ramener demain après-midi en voiture :
— Nous sommes venus avec le véhicule de fonction. C’est plus économique et surtout plus pratique et rapide que prendre le train et un bus. Vous habitez à 20 km à peine de chez moi. Je laisse Jérôme et Serge au passage et je vous raccompagne à la porte de votre maison où vous attend votre petit mari.
— C’est gentil. Merci. Ça me fera gagner presque 3 h. Mais je ne veux pas vous déranger.
Malgré sa gentillesse et sa prévenance, mon esprit reste fixé sur ce qui va se passer dans la chambre de Serge. Rien que d’y penser, mon corps réagit, mains moites, picotements dans ma poitrine, humidité de mon vagin, papillons dans le ventre.
Je frappe. Il m’ouvre. Il m’embrasse à pleine bouche en me pelotant les fesses, puis me pousse à l’intérieur de sa chambre.
— Je te présente Olivier et Patrick, ils sont de Lyon et on se retrouve à chaque séminaire. Nous allons te partager. Tu vas adorer.
Ils sont tous les deux assis sur le lit et me sourient. Patrick est le voisin de la conférence de ce matin, l’autre était dans mon atelier cet après-midi.
— Enlève vite ta robe !
Je suis paralysée.
— JE NE LE RÉPÉTERAI PAS !
Le sourire malsain de ...