Lyndsay
Datte: 11/11/2024,
Catégories:
f,
fh,
ff,
fhh,
fbi,
jeunes,
frousses,
inconnu,
uniforme,
grossexe,
vacances,
campagne,
chantage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
champagne,
init,
Auteur: Marchandisidore, Source: Revebebe
... l’homme qui se masturbait dans le fauteuil profitait d’une vue absolument sublime. Allongée sur le ventre, cette naïade rousse prodiguant des faveurs saphiques à la venus écossaise exposait un postérieur magnifique aux vertus aphrodisiaques. Ses courbes se prolongeaient en blancheur jusqu’à ses jolies jambes souples au bout desquels balançaient de petits pieds nacrés.
Se sentant un peu centaure à ce moment-là, il se dirigea vers les belles nymphes dans l’intention de vouloir soulager sa bestialité.
— I think tu a mis Mister Georges un peu jaloux dey ton Paris tout à l’heure…,dit Miss Lyndsay.
Jeanne sentit un poids derrière elle peser sur le rebord du matelas. Elle comprit que ce dont avait profité le jeune berger intéressait maintenant le centaure. Des mains épaisses passèrent sous ses hanches pour les relever, exposant son intimité arrière dans une cambrure qui lui creusait les reins.
Par précaution, elle passa sa main sous elle de manière à empêcher l’accès à sa porte interdite. Enivrée et peu réfractaire à l’exercice d’une nouvelle introduction, elle indiqua par là l’orifice déjà tout préparé par son précédent amant. Jeanne se sentait comme une de ces nymphes de la mythologie, qui après de longues courses haletantes, n’en pouvant plus, se résignent à s’offrir aux centaures qui les pourchassent.
Elle sentit alors un gland massif se poser sur sa pastille. Il eut à peine à forcer que le gros membre fut avalé dans toute sa longueur. Sa largeur ...
... impressionnante produisit en elle un effet saisissant d’autant plus que la semence fraîche du précédent rapport facilitait l’introduction et agissait comme un baume. Sans comparaison avec les folles sensations que lui avait données son joli berger grec, le viril habitant du mont Pholoé, la tenant fermement par les reins, lui donnait sans ménagement dans le postérieur.
Notre lady écossaise profitait des vocalisations de la petite naïade qui, bâillonnée par sa vulve, y émettait des gémissements étouffés. Elle attendait l’orgasme de ce bel homme dont elle vivait l’action par procuration afin de jouir en même temps que lui. Se cambrant à fond, il accéléra la cadence, puis effectua un arrêt de ses va-et-vient pour déverser tout ce qu’il put au fond du ventre de Jeanne. Les yeux soudain grands ouverts de la lady trahirent sa montée en plaisir, le mouvement saccadé de ses reins contre la tête de sa bienfaitrice marquant le rythme de ses spasmes.
Héroïne de la soirée, Jeanne avait vaincu l’amazone, dompté le centaure et séduit Pâris. Quelle aventure ! Elle qui, quelques heures auparavant, s’ennuyait au banquet de ne pas voir arriver son prince charmant !
Mais tout spectacle a une fin. La nuit étant déjà très avancée, la jeune lady fit comprendre aux deux laquais qu’il était temps pour eux de prendre congé d’elles. Les protagonistes, habillés rapidement et faisant leurs hommages aux demoiselles, sortirent avec discrétion de la chambre.
— Je peux rester avec toi ? dit Jeanne à la jeune ...