Lyndsay
Datte: 11/11/2024,
Catégories:
f,
fh,
ff,
fhh,
fbi,
jeunes,
frousses,
inconnu,
uniforme,
grossexe,
vacances,
campagne,
chantage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
champagne,
init,
Auteur: Marchandisidore, Source: Revebebe
Résumé de l’épisode précédent :
Jeanne part en villégiature chez sa tante. Loin de sa mère et de l’hôtel particulier parisien, elle a envie d’indépendance et d’aventures amoureuses. Sa curiosité l’amène à découvrir qu’au sujet de certaines personnes, les apparences peuvent être trompeuses. Aussi prend-elle conscience que son innocence a besoin d’être instruite.
Ce soir-là, la fête avait été remarquable ; son faste avait dépassé tout ce que Jeanne pouvait imaginer. Sa tante, Madame la Comtesse d’Albert, était réputée pour les réceptions qu’elle donnait en son domaine, mais ce jour-là n’était pas un jour comme les autres ; elle recevait les Rothesay. Propriétaires d’immenses domaines donnant sur le Loch Stirven, ils avaient traversé la moitié de l’Europe pour passer un mois de villégiature chez elle. Cette noble et vieille famille écossaise créait l’événement. Sa venue en Touraine suscita forcément un phénomène mondain que nul ne voulait manquer. Choisis parmi les plus en vue de la région, deux cents invités avaient répondu à cette invitation. Une trentaine de domestiques, commandés pour l’événement, avaient été logés dans les dépendances ; durant la journée, fleuristes et cuisiniers s’affairaient en tous sens dans les couloirs et les salles du château.
D’abord, il y eut le cocktail d’accueil. Des musiciens avaient été commandés. Un quatuor à corde ainsi qu’une harpe entonnèrent des valses joyeuses qui firent tourbillonner les belles robes et les costumes à revers de ...
... soie. Jeanne se crut transportée dans un bal de conte de fées où il ne manquait plus qu’un prince et une cendrillon pour parfaire l’aquarelle. Le repas, somptueux, se prolongea jusqu’à la nuit tombée. On y vit les mets des plus raffinés : des œufs de caviar noirs comme de l’ébène et fondants, des suprêmes de volaille au jus truffé si tendres qu’on aurait pu les découper avec une fourchette à sorbet, des pâtés d’une finesse… Il n’est pas nécessaire de décrire les nombreux vins proposés, mais ils égalèrent en qualité la multitude des plats servis.
Après les desserts, on alla se rafraîchir sur la terrasse et les kiosques du jardin doucement éclairés à la bougie. Infusions et alcools de fruits furent proposés à ceux qui désiraient profiter encore des douceurs nocturnes.
Durant cette divertissante journée, une des cousines de Jeanne s’était amourachée d’un petit baron dont la juvénile moustache trahissait le jeune âge. On l’avait vue arriver celui-là, sa petite canne à la main et son air de faux dandy. À chaque instant il lui faisait les yeux doux ! Une autre avait tellement dansé que sa petite cheville – fatiguée avant la cuisse – manqua son pas, la projetant ridiculement contre son cavalier.
La troisième ne disait rien, mais en fit tant auprès d’un jeune officier, qu’elle dut toute la soirée surveiller l’accès aux jupons de sa robe.
Quant à Jeanne ; elle était songeuse. Elle se demandait si un jour son prince charmant daignerait paraître. Magnifique, venu en carrosse ...