1. Joyeux anniversaire !


    Datte: 07/03/2018, Catégories: fh, fff, fhh, intermast, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, Auteur: Jones.Indiana, Source: Revebebe

    ... demandé la veille. Il semble flancher face à cette révélation un brin canaille :
    
    — Je pourrais t’aider.
    
    Cet après-midi-là, C. passe son temps à regarder sa montre : il va bien falloir se décider à passer à l’action. Vers 17 h, elle se dit qu’il faut jouer le tout pour le tout. Elle entre dans le bureau de son collègue et ferme la porte rapidement. Alors qu’il lève la tête, elle est accoudée sur la chaise qui lui fait face, les fesses plus hautes que les épaules.
    
    — Alors, tu vas m’aider ?
    
    Son collègue sourit, étonné que la boutade se concrétise. Il se lève, passe doucement sa paume sur la joue de C. mais semble hésitant, ne sachant si tout cela n’est pas une mauvaise blague. Devant sa passivité, C. prend les devants : elle s’assoit sur le bureau et déboutonne son chemisier. Elle lui prend la main et la pose sur son sein. Son collègue commence à le masser, à le presser. Alors qu’elle arrache son pull, il dégrafe son soutien-gorge et suce ses tétons. Enhardi par cette entrée en matière, il commence à déshabiller C., tout en se régalant de ces mamelons qui s’offrent à lui. Ses baisers se multiplient sur le corps de la jeune femme, descendant peu à peu sur son ventre et à sa chatte. Elle soupire d’abandon lorsque la langue de ce simple collègue, à qui elle esquissait à peine une bise habituellement, atteint son clitoris.
    
    De la même manière qu’il avait tété ses seins, il se met à suçoter son bouton. Il ne résiste pas au plaisir de lui glisser un doigt. C. ne peut ...
    ... alors plus retenir de petits cris, bien qu’elle essaye de les étouffer pour ne pas alerter le reste du bureau. Alors qu’elle est sur le point de jouir, son collègue s’arrête brusquement. Non, elle ne veut pas que tout soit terminé, elle veut prendre pleinement son plaisir. Elle le caresse, pour l’inviter à continuer, puis se retourne, couchant son buste contre le bureau. Son cul est à la disposition du jeune homme : elle lui offre. Il peut désormais en faire ce qu’il désire.
    
    Profitant de cette chienne en chaleur, qui ne demande qu’à être satisfaite, il joue à la faire patienter. Il agite ses doigts tout autour de l’entrée de son vagin pour la faire mouiller, encore et encore. Elle ne tient plus, elle veut qu’il la pénètre ; vite, elle veut qu’il la remplisse. Elle veut sentir son trou écarté, envahi, défoncé, par sa bite. Lorsqu’il enfonce sa queue dans ce tunnel bien humide, le soulagement vient enfin. Il la domine enfin, la tenant fermement par les hanches et la pilonne de grands coups de reins. De temps à autre, il reste figé en elle et frotte ses couilles contre son clitoris. Il aime les petits gémissements qui échappent à celle qui l’a snobé pendant si longtemps. Libéré, il va enfin pouvoir déverser tout son désir, tout son foutre en elle. Il accélère peu à peu le rythme. Elle s’agrippe aux bords du bureau pour ne pas être écrasée sous ces assauts. Il vient enfin, dans un cri de rage vengeresse : la salope a enfin fini par lui céder.
    
    Rentrée chez elle, C. se sent un ...
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